Pendant le weekend

Vingt et un neuf quinze

(écrit le vingt deux mais on s’en tape) (parti depuis dimanche (ce n’est qu’hier) et vu seulement aujourd’hui le gentil hommage à ce journal qui, il est vrai, dure depuis déjà pas mal de temps) (hommage relayé par l’ami Chasse-Clou en touitte) (ici, là, ailleurs : on va où on peut) trouvé ce livre dans la bibliothèque de la chambre jaune (refait le parquet l’année dernière, refait celui de la bleue cette année ainsi que peinture etc.) (la vie n’est jamais simple mais si on ne la prend pas à bras le corps elle veut s’échapper comme une garce) (ceci dit parce que, ces derniers temps, nombreuses visites à des établissements nommés maisons de retraite et que ça en bouche un sacré coin : celui, entre autres, de décider de ne jamais-jamais vous entendez- jamais- finir dans ce genre d’hôtels où on force les personnes à des précautions idiotes, ce qui leur fait penser qu’après tout, ça ne vaut pas la peine de vivre) (un peu écoeuré, là, mais enfin le capitale, à part notre corps, que nous reste-t-il encore à lui vendre ?)

sherlock baskerville

 

 

 

 

 

 

 

Si vous tenez à votre vie et à votre raison éloignez vous de la LANDE

(écrit avec du sang… j’adore)

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment résister à une telle nature morte ? (1 bouquet, 3 mûres, 4 poires sur la table beige clair) (une table qui appartient à cette vieille dame aujourd’hui dans cette chambre (deux cent dix neuf) deuxième étage qui donne sur un cloître : comment dire qu’on lui souhaite de se faire de bonnes copines, de bons copains, et de continuer à tenter de trouver la vie belle comme ce qu’on lui a rapporté de son jardin ?

1 bouquet 3 mûres 4 poires

 

 

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