Pendant le weekend

Treize onze quinze

(ça tombe un vendredi : ça me fait penser que j’ai vu qu’un jeu de grattage prenait pour argument la réunion environnement de début décembre, là : l’allégorie est juste et parfaite; en même temps, je crois qu’au nombre des sponsors d’icelle on trouverait bien d’autres merveilles du monde) (quelle abjection) aujourd’hui (ce sont des jours qui sont difficiles) ça ne passe pas, j’ai beau m’abrutir à aller ici faire ma saisie (je suis à jour, merci), là acheter des enveloppes pour envoyer ma lettre au maire, ailleurs encore (peut-être voir TNPPI qui sait), ça ne passe pas, c’est là, poids inutile sur les sentiments (mais j’ai quand même fini le magnifique « Une chambre à soi » de lady Virginia) (et entamé « Le tort du soldat » d’Erri de Luca)

eau froide

(un peu de soleil dans l’eau froide des douves-le film de ce titre (Jacques Deray, 1971)(sans les douves) ne lui arrive pas à la cheville – adapté d’un roman de Françoise Sagan) 

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1 Comment

    Le peu de soleil dans l’eau froide, je l’ai vu, à sa sortie. C’était le genre de film que j’allais voir dans ces années-là avec l’une de mes soeurs au cinéma Le Gudin, rue Gudin, Paris 16e, près de la porte de Saint-Cloud. Je crois que nous trouvions le jeune acteur très beau.