Pendant le weekend

Vingt huit un seize

(c’est trop à faire, en vérité, trop et les bras m’en tombent tout le temps, je vais chercher le courrier : quittance de loyer à deux mille sept; lettre assurance « en l’état des éléments en notre possession, nous ne sommes pas en mesure de vous fixer sur notre position dans cette affaire« , on a le droit de rêver encore mais pourquoi veulent-ils me fixer ? – tentative de prendre un premier rendez-vous le 24 novembre et voici le reçu, deux mois plus tard; du côté de la mairie : rien nibe macache bono comme dirait Fortunato (sic), pas envie non plus de pleurer, mais les merveilles de ce monde sont assez inénarrables et pour le moins baroques sinon rococo) alors comme ça, je n’ai même pas tenu mes devoirs -il faut dire que ça a été bousculé – de voyages, mais enfin je suis allé, voilà bientôt deux mois, en seine-maritime normandie -et cette mer-là ma foi, si on ne s’y baigne, elle sert à quoi ?

fécamp le matin

ce jour-là il faisait un temps magnifique et on a gravi la colline, jusqu’à l’église, ses ex-votos et on a déposé là deux flammes éphémères pour ceux qui nous ont quittés

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