Pendant le weekend

Neuf dix

(puisque c’est les 100 jours de Nuit Debout, ça se fête probablement) (pour ma part je travaille, mais je loi et merdauquatreneuftrois) (« c’est dur à gagner sa vie » me disait type, un jour, il est parti à la retraite, doit être mort je suppose, « mais j’aime pas quand on tape dans la tôle » je me souviens de son visage)

lavande juillet

(en spécial dédicace à madame Célérier ces fleurs capt(ur)ées devant le boulot) avant ça, j’ai pris le métro (j’ai fini « Veracruz« , Olivier Rolin, brrr, une fin magnifique « Laissez moi ») et devant moi s’est installée cette petite ménagerie

deux perruches

ni une ni deux, j’ai tout de suite pensé à ce merveilleux triptyque de Miguel Gomez « Les mille et une nuits » (2015) qui est un peu relation avec cette actualité mais je préfère, et de loin, le cinéma – il ne faudrait pas sortir ce soir, pour bien faire) (j’ai lu quelques billets, je ne me souviens plus, sur la nation, pavoiser ses fenêtres et des choses dans ce genre qui m’ont profondément affligé) et marchant sur l’avenue, cette merveille (signée backtothestreet)

back to the street

il y en a un peu partout, j’adore ça (elle est mieux sans reflet : c’est au coin Pyrénées Bolivar, en descendant sur la droite), j’applaudis je félicite cet embellissement des murs et des rues (on a été voir « L’effet aquatique » (Solveig Anspach, 2015/16), une vraie merveille aussi tout comme son précédent « Queen of Montreuil » (2013), c’en est la suite) et on recommence pour le dimanche (bonne soirée…)

lune botza

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2 Comments

    ah oui, et dire qu’elle est décédée, cette cinéaste. Il lui faudrait aussi des fleurs…

  • @Dominique Hasselmann : oui, on la voit apparaître dans un petit rôle rigolo (le film l’est aussi, tellement…)