Pendant le weekend

Vingt sept deux cent soixante et onze

 

 

 

Voici Bill, un ami d’une amie, je le pose là pour illustrer le repas pris avec l’ami de 47 ans, qui s’envole aujourd’hui pour je ne sais plus quelle île (tartare salade chardonnay)

bill

puis cet autre portrait de Margot pris dans l’émission du pivot de la littérature (elle rit parce qu’il lui dit mais comment vous n’alliez pas au lycée ?) (cinglée, c’est vrai, mais le style, l’écriture la joie de vivre et de mourir, une merveille quand même – elle dit non ce que j’écris, ce n’est pas convenable pour que j’aille à l’académie) (je l’adore encore)

margot-qui-rit

(marin barrage amant écrire moderato tarquinia) (cinéma nettement moins) (on fait comme on aime)

et puis troisième portrait trouvé dans un canard, pour affirmer que tenter de choisir entre l’ordure et le fumier ne me tente pas plus que la semaine dernière (non plus que de payer pour voter, c’est dans quelle république bananière qu’on paye pour voter ? Et pour assister au meeting du borgne et de sa saloperie de progéniture aussi je crois, c’est où ? mais ici, mon cher ami) (quelque chose de complètement pourri et de pervers dans cette mode primate)

daniel-blake

(en même temps, j’ai cinq piges de plus que Daniel Blake, là, moi – aucun rapport, en effet) (film magnifique, pas à tortiller) (aucun rapport, vu que je n’ai pas de maladie de coeur – et bien que je sache que c’est par là que je m’en irais, il me semble) (au cinéma « planétarium » on peut parfaitement éviter (Rebecca Zlotowski, 2016) (générique immonde -et ça veut tout dire- et train de nuit en modèle réduit à pleurer) classé par  wtf allo ciné en « cinéma de fantasy/film à énigme » (sic) – ça ne s’invente pas mais y’a rien de tout ça)

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2 Comments

    Déçu par « I, Daniel Blake », scénario prévisible, filmé de manière quelconque… autant réaliser un documentaire décapant sur les agences pour l’emploi anglaises (on attend quand même le sujet traité chez nous).

  • @Dominique Hasselmann : Ah la mode du documentaire… Le prévisible du scénario, c’est ce qu’attendent la plupart des candidats qu’on voit défiler : qu’on foute les malades au trou, les vieux ? qu’ils dégagent -ou mieux, qu’ils crèvent – et que les femmes exercent (comme ils disent) le « plus vieux métier du monde ». La mise en scène est simple, élégante, le scénario parfait : ces choses-là doivent être dites. (on a eu « La loi du marché » quand même (Stéphane Brizé, 2014))