Pendant le weekend

Un douze deux cent soixante quinze

 

 

 

trop froid (brrr) (il y avait la photo de couverture « Maîtres du monde »sur facebook hier : tout allait bien) sauf qu’il fait froid – le plombier est passé, une petite heure à pomper gros réservoir, petit écoulement, continuer, puis « on ne pourra pas mieux » bah

deboucher

(photo paparazzo – facture à trois chiffres, le premier un un quand même faut pas exagérer…) puis j’ai dévissé les serflex, et découvert l’ampleur du bouchon – des cailloux amalgamés sur une longueur de cinquante centimètres, voilà qui va mieux à présent, les bondes font un bruit de glouglou de meilleur aloi – il fait froid quand même, ça ne s’arrangera pas tout de suite, l’hiver, mais « la petite fabrique » sur les rails, semble-t-il, nouveau rendez-vous presque pris (c’est pour aujourd’hui), travailler encore, sortir (casquette, pas encore gants, pas encore 4 épaisseurs au corps, mes les 2 aux jambes) rejoindre A. à Beaubourg

beaubourg

lui offrir le libanais (douze euros le plat du jour) et deux livres (anniv), continuer encore et encore, regarder le ciel bleu les yeux qui perlent le nez encombré, il est tard (le livre des 58 n’a pas pris – les commentaires non plus : c’est égal), demain un autre jour, les carnets de voyage(s) à finir (la Sicile, j’arrête; Eubée, je termine) et puis ces moments qu’on agonit (les fêtes) dont le mois commence

Au cinéma « Le client » (Ashgar Farhadi, 2016) – triste histoire – scénario en acier – déroulement parallèle entre le jeu d’acteur de théâtre et une sorte de réalité du monde – un peu trop didactique, j’ai trouvé – la justice faite par soi-même, l’Etat défaillant, sans doute, une sorte d’obscure nécessité de ne pas se venger… dur dur

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