Pendant le weekend

Vingt huit deux – à un an de la loi travail

 

 

(ni pardon, ni oubli)

J’asq 7. à la cinémathèque française du Trocadéro (entrée par avenue Albert de Mun)

(dans les années 70) on payait un franc la place (Henri Langlois venait sur scène présenter le film à venir)(aujourd’hui, on paye 43 fois plus, merci qui ?).

Il ne fait pas si beau, sans doute quelque chose de la maladie (j’ai repensé à la couvade, ce truc des pères; puis aux pratiques du deuil, ici ou là) (passé la journée au lit) (la vie c’est pas facile, le plus dur c’est pour ceux  qui restent) (j’en sais rien, c’est vrai, mais c’est ce que je ressens) pas de photo ? Non, samedi au cinéma c’était  « Dil se » (Mani Ratnam, 1998) (la traduction du titre « A coeur ouvert », dix ans avant les attentas de Bombay de juillet 2008 sur le même mode opératoire) qui met en scène des kamikazes sur fond de danses magnifiques et de paysage assez bizarres – deux heures et demie quand même.

 

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3 Comments

    ni pardon ni oubli, juste peur que le prochain gouvernement s’engouffre dans la brèche ouverte pour continuer destruction
    (sauf si miracle bouleverse les prévisions)

  • Tu l’as sûrement vu, The Lunchbox (je mets un lien au lieu de recopier la date de sortie !)

    … Extra, non ?

    Le cinéma, porte ouverte, comme celle de l’ancienne cinémathèque, sur autre chose, autres pays, autres imaginaires… (ne pas se tromper lors de la remise des Oscar !).

  • @brigetoun : nous verrons hein… :°)
    @Dominique Hasselmann : oui, je l’ai vu Lunchbox, c’était extra – mais la dimension de la musique n’y était pas et là, dans ces films-là, c’est presque le personnage principal (on a l’impression , un peu, de cette distance qu’il y a aux US entre les films de la côte ouest et ceux de la côte est… Pour la remise des Oscars, tout le monde peut se tromper…