Pendant le weekend

Vingt quatre quatre cinquante cinq (an II)

 

 

(pour la loi travail, pas certain que ça aboutisse – va falloir se battre – l’exemple des cars, la nullité du discours et de l’intelligence, les vestes retournées et la lutte des places,  la nausée) travail en cours, à faire, nombreuses images à tailler, faire et faire encore (sur « Décor Daguerre » magnifique opus d’Anne Savelli – Editions de l’Attente, 2017)

je mets une seule image, là, de cette dame-là, Marcelle, et de son mari, Léonce (le parfumeur, sa charmante femme, la boutique « Le chardon bleu« , le film « Daguerréotypes » (1975) de la Varda)

après on verra.
Par ailleurs, travailler, et encore travailler. Et ne rien lâcher.

Rien.

Hier soir, à la philharmonie, Monty Alexander, la joie de vivre, la musique la vraie réalité des choses. Une image du sixième étage (cherché sans le trouver, l’accès à la terrasse du haut)

pas d’image du concert, mais si on regarde bien, gauche cadre, la tour Eiffel quand même (pour attester, je suppose, que c’est à Paris)

(je te la rapproche, allez). Beau temps, mais froid.

(en tout cas, on ne me verra plus voter qu’aux législatives – si on me prête vie, évidemment) (on peut la mettre n’importe où, cette incise, je reconnais)

 

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5 Comments

    crois que vais voter avant pour que ma honte soit un tout petit peu moins grande, seulement il y a cette autre : avoir l’impression de piétiner les plus démunis et invisibles

  • chère Brigitte, mettez votre honte à la poubelle : vous avez juste agi selon vos convictions, bravo, continuez… (il y a un article qui titre « la gauche la plus bête du monde » (ça a un sale goût, certes, mais pourquoi ne se sont-ils pas entendus, ces deux être envahis par les sondages ?) quelle misère…). Ne rien lâcher, voilà tout. Très amicalement à vous, merci du passage.

  • il m’en coûtera mais je voterai avant les législatives parce que d’un côté il y a tout de même l’abjection absolue et que ce n’est pas rien (et puis, qui sait, avec aussi une pensée pour celles qui n’ont arraché qu’en 1944 le droit de voter).

  • @l’Employée aux écritures : je vous comprends, Employée, moi-même j’écrivis cela ce matin, et voilà qu’on me convainc – nous avons le temps de voir , aussi… – qu’il s’agit de dire son mot contre cette peste brune ignoble inqualifiable – mais cela veut-il dire qu’on adhère à l’autre côté du scrutin ? (ne nous restera-t-il que le vote blanc ?) (pffff) en tout cas, merci du commentaire…

  • Voter Macron ? Il fallait le faire au premier tour, comme les Colomb, Delanoë, Valls, Le Drian, etc.
    Tout cela a manqué d’harmonie (elle file), comme de culture.

    Heureusement, la musique survit.