Pendant le weekend

4 janvier 1041

 

 

 édito 

un temps je fus familier de la lecture de ce mensuel de cinéma (fin des années soixante dix et début des années quatre vingt) puis épisodiquement – puis plutôt positif encore que les prix de cette revue soient devenus carrément prohibitifs mais OSEF complètement : non, ce qu’il y a c’est l’éditorial du mois dû à Stéphane Delorme. Important de savoir que, malgré tout ce que serine à longueur d’ondes et d’images les « médias régimaires » ((c) A.Gunthert) l’expression d’une certaine réalité (tue, forclose, déformée par ceux qu’on paye pour ça) reste et continue à se percevoir : ce ne sont pas des fêtes, seraient-elles de fin d’année, qui feront cesser l’ignominie et le mépris exercé par ce pouvoir. En dédicace l’ange du Châtelet

hier soir au ciné une espèce de bagatelle « Qui a tué Lady Winsley ? » (Hiner Saleem, 2018) (dont on avait beaucoup aimé le « My sweet Pepperland » (2013)) facture policière standard, à voir si on veut (des images de Constantinople-Istanbul vue de Bûyükada de ce genre-là

Bon week-end surtout. En sortant du ciné

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5 Comments

    J’apprécie toujours les éditoriaux de Stéphane Delorme (signé : une abonnée à votre blog et aux Cahiers du cinéma)

  • pas abonnée mais acheteuse régulière pour eux dans les années 60 et puis Positif dans les années 70… et puis plus (et plus guère de cinéma non plus, puisque la possibilité de prendre en marche pour éviter la queue n’existait plus guère et que mon temps et mon argent étaient pris par théâtre et concerts…
    regret mais je n’arrive toujours pas, disons de moins en moins à m’ébranler (en outre ici il n’y a guère qu’Utopia ce qui nécessite de consulter programme et viser et avoir envie juste au moment où ça passe…
    y allais quand peu d’argent et bureau rue de l’Ecole de Médecine, toujours quelque chose à voir dans le quartier en rentrant chez moi, et me passionnais

  • « Les Cahiers du cinéma »…. j’y ai abonné mon fils depuis quelques années mais comme il n’habite plus chez moi et que la revue arrive toujours ici, je n’ose l’ouvrir sous son film (plastique)…

    Belle photo nocturne (pas indien)… 😉

  • un seul « ici » suffira (maintenant)…

  • @Dominique Hasselmann : j’ai ôté l’ici superfétatoire (ici) (maintenant) :°))