Pendant le weekend

4 avril 1030

(déjà ?) (pffff… il passe, passe sans s’arrêter – tandis que nous autres, parfois, simplement, on aimerait une pause, ne serait-elle qu’infime, mais non) (travailler, reprendre, écouter tenter de comprendre : passage au greffe pour déposer les comptes (obligation légale paraît-il) et croiser ces deux spécimens (#339)

qui gardent l’entrée administrative en diable – dans les détails, il se cache toujours : il faut que j’y retourne, rien n’est simple) (je termine la nouvelle, 4000 mots, ce sera fait) (je la poste, je l’illustre peut-être bien ici) marchant dans les rues, croisé ces trois-là

sous Molière, peut-être crachent-ils de l’eau aux beaux jours) (#340) insomnie, tu nous tiens, la voilà, de temps à autre, courir ici ou là, aller chercher son badge photo, aller faire sa saisie attendre qu’on le puisse, attendre, laisser passer, oublier, le long des rues marcher, envisager, projeter, étudier – c’est cette fatigue – continuer quand même – quand je pense aux turpitudes subies par CG. il m’en deviendrait presque sympathique, malmené, bousculé, réemprisoné et encore… – à ce propos j’ai manqué une chronique d’un économiste – je vais tenter de la reprendre – images du jardin ce week-end (la plus noble conquête de l’homme…)

quelques fleurs de printemps (je fatigue, jte jure)

et un petit morceau de Lune, si on en croit ce qui en est dit… (désolé, le point manque, je la refait un de ces jours, je la change – promis juré)

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2 Comments

    l’image du jardin et de la plus belle conquête de l’homme réveille une petite envie de rêve en moi
    quant au temps à force de passer il m’amène aux temps des décisions et changements

  • Je vois bien Macron à cheval (demander conseil à Sarkozy qui l’enfourcha en Camargue)… sur ces principes de « progressiste » – la nouvelle dénomination labellisée par deux de ses courtisans partis trouver un « jog » ailleurs.

    Bizarre, la garde républicaine équestre n’a pas été envoyée à nouveau « au front » des Gilets jaunes : manque de foin ? 😉