Pendant le weekend

1323 Mardi 28 janvier 2020

 

 

 

on connaît (sans doute) cette inscription plus ou moins détournée sur le mur d’une école (école élémentaire Louis Blanc, mon cher Watson)

(au détour de cette image, des gens que j’aime bien lui par exemple

vous dire pourquoi je ne saurai mais probablement parce qu’il se tient un peu voûté) donc ici

qui n’a pas toujours été d’ivoire (image de 2008 dit le robot)

l’ami B2TS (une amitié vaut pourtant mieux lorsqu’elle est partagée) a déposé une douzaine de clichés sous cadre d’enfants magnifique(s) – un de ces dimanches, il en sera fait mention ici – mais Paris sous le soleil n’était pas le cas hier – réu débrief-brief en passant sur l’avenue Jean Jaurès ce type sur le toit (plus ou moins) de l’officine carottée en passant par la (rue de) Lorraine

(la chanson »le jour où la pluie viendra/nous serons/toi et moi /les plus riches du monde ») (Bécaud 100 000 volts : Dalida tout autant) sans image de la souche) – puis au bar Atlantique avec mon ami libraire (merci pour le verre) (ça rime)

(un type à chignon prend des images d’un couple qui s’entretient – ont dû manger (côte à l’os pour deux personnes, tu connais ?) – mon ami : un casse-dalle au fromage sans doute – c’est parce qu’il végète – ça ne se dit pas – parce qu’il est végétarien – c’est mieux – personne n’est parfait) une image du métro (deux jambes seulement)

rien de spécial – toujours cette côte, toujours ces insomnies, toujours ces difficultés diverses – le boulevard du Montparnasse à la Rotonde close – la pluie, encore, séminaire littératures humanités numériques (légèrement abscons – mention de Annie Abrahams  – lien copieux non sans intérêt) image de ces locaux (qu’on fréquentait fin soixante dix pour le cinéma ici enseigné) (doit l’être toujours)

et enfin cette image de Norma Jeane (vantant une rétrospective « carte blanche » à Eric Rohmer – critique de ciné devant l’éternel avant de commettre contes moraux etc. – prof de ciné aussi, d’une gentillesse mesurée ou retenue – l’homme était timide – programmation comak) (dans Bus Stop, Marilyn chante That Old Black Magic – sous ce lien chanté par Ella Fitzgerald – elles étaient potes)

(réussi à réaliser sans le vouloir un format parfaitement carré pour cette image : voilà une journée qui commence bien – il m’en faut (en effet) peu)

 

 

 

 

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2 Comments

    moi je ne connaissais pas cette école et son inscription
    moi j’ai savouré – moi il m’en faut aussi très peu (enfin pas si peu en réalité)

  • Cette traduction du titre de ce film américain en « Arrêt d’autobus » est vraiment plate et nulle.

    Il vaut mieux garder le « Bus Stop » original, sinon c’est comme une version doublée en français : donc vraiment ultra-moche par définition… (qui parle encore d' »autobus » d’ailleurs ? Non, mettez « Arrêt de car Macron » à la place ! 🙂