Pendant le weekend

1742 Samedi 19 Mars 2021

 

 

 

une image que je reproduis sans autorisation (ni wtf attestation)

j’adore (travaux d’aiguille) tenir  et continuer – du à Christine Jeanney – qu’on salue – c’est aujourd’hui que, cette année pour la première fois (elles sont deux, tu ne peux guère ni oublier, ni te tromper, qu’au jour s’égale la nuit – il fait frais, c’est le printemps)  (l’autre c’est pour l’automne) – dans une prison d’opérette, sans doute, avec des attestations (il faut faire grève: pour ma part, ce sera comme pour le gel – Niet no nein fum’t oula la ? – on avait quelques mots en arabe du genre matarchems el kelb et autres – ils sont oubliés ou presque) – cette image promise et donc due je suppose

place du Palais Royal (officine bâtons de chaise en forme de cigare toujours ouverte, je crois) (dite Colette – vu qu’elle vécut sur les jardins, son voisin était le Cocteau Jean qui décéda le même jour que la môme Piaf et dans mon esprit à peine un peu avant JFK en Dallas balle dans la tête – je vérifie dix octobre vingt-deux novembre – j’avais dix ans et le siècle 63) (la mémoire des chiffres, des nombres comme leur théorie) je dispose d’images, celle-ci montre le centre géographique des états dits unis –

j’essaye de voyager dans ce monde inhospitalier, abject (en Birmanie ? des nouvelles de l’Inde … ?) (le découvert financier commence à devenir abyssal je perds pied, il me semble – 5 mois sans travail – j’essaye de me réveiller en me mangeant les doigts, ça peut marcher : à ce propos, tout à l’heure, place Edmond Rostand démarre la marche où on se retrouvera peut-être)

Du rififi chez les hommes (Jules Dassin, 1955);
Voyage à Yoshino (Naomi Kawase, 2018);
La fête est finie (Marie Garel-Weiss, 2017) (premier long métrage)

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3 Comments

    deux premières images qui me parlent !
    bonne journée à vous

  • Sans doute ai-je jeté (c’est le sort, un jour, des journaux papier, comme mes piles de Charlie Hebdo, Nouvel Observateur – mieux que ce raccourci « l’Obs » – Le Monde, Le Canard enchaîné… qui atteignaient plus d’un mètre de hauteur dans ma cave) le « Libé » qui rassembla en « une » les défunts Colette et Cocteau – deux C comme complices en poésie- que vaut une image numérique alors par rapport à une photo que l’on peut toucher réellement du doigt ?

    « Attestation dérogatoire de déplacement » (un titre trop court pour la richesse du document) : elle est « en cours de mise à jour » sur mon téléphone… bravo la « résilience » au pouvoir et sa diligence élyséenne ! .-)

  • @brigitte celerier : je vous les donne :°))
    @Dominique Hasselmann : moi aussi,encours de mise à jour, mais (quel dommage) désormais inutile… (je la garde – la mise à jour s’est effectuée hier soir tard : merci Cédric O !) au titre du souvenir.