Pendant le weekend

2007 Mercredi 8 Décembre 2021

 

 

une espèce de dégoût cependant – ce genre de truc passe (aujourd’hui journée d’écoute mais je ne crois pas tout, le truc est intitulé de main en main) – tracer la route, et pour le reste : rien à foutre – l’important ce sont les amis : un texte magnifique de Christine Jeanney chez abrüpt error : un long poème formidable – sinon la routine ? pas vraiment on cherche, on trouve – on avance un peu (en cadeau la nouvelle traduction du Manhattan transfer de John Dos Passos, formidable (enfin moi j’adore) – café TEC

les images du jour sont loupées – ça arrive trop fréquemment, ça m’impressionne – ça reflète aussi ma vue, parfois comme ici après le marché

courses ménage cuisine – parfois le sentiment de faire partie du petit personnel – il n’y en a pas de grand cependant : les diplomates hier dans le poste – en maison[s]témoin le générique du court métrage découpé pour l’aiR Nu ce qui fait une séquence assez longue qui rappelle un peu celle sur l’hôtel de Suède – il y avait ces velléités cinématographiques et critiques au début des années 80, de production et de réalisation, comme de comédien aussi – ça reste là, têtu comme une bourrique bien que j’exècre ces manières (il n’y a que ceux qui travaillent qui travaillent, c’est une famille, les passe-droits les exos, toute cette quincaillerie qui d’ailleurs reste valable dans n’importe quel milieu professionnel mais exacerbée dans celui des médias pour faire court) – c’est aussi que, souvent, après la manie vient la déprime comme on sait – ici un petit métier

(le point sur le numéro de la rame, tu le crois ? moi non – merde) et par la poste l’avant projet prolégomènes du nouveau (beau) livre de l’ami photographe

 

en face Gens de Dublin (John Huston, 1987) (avec sa fille en presque premier rôle et son fils je ne sais plus où – au scénario – adaptation d’une nouvelle (The Dead) (Les Morts) de Henry James) (pour Johnny : son dernier coup d’archet je crois bien : il décède en août, le film sort en décembre…) magnifique (enfin, j’aime beaucoup) (il y a dans la bibliothèque l’autobio de sa fille (qui est une rude personnalité) jamais lue – trop mal traduite je suppose – je vais peut-être m’y remettre)

 

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2 Comments

    dito pour les images et les yeux (pour le poème aussi, mais le dégout non moins et pourtant les amis)

  • @brigitte celerier :oui,les amis oui – heureusement…