Pendant le weekend

2087 Samedi 26 Février 2022

 

 

 

 

 

il y en a un qui fait « jm’en fous pas mal/c’qui peut arriver n’importe quoi/ jm’en fous pas mal j’ai mon passé qui est à moi » (c’est une chanson de la Piaf mais on s’en fout aussi) l’autre qui s’émeut, le troisième qui prend peur (celui de la valise ou le cercueil) et un quatrième qui veut se battre – les armes à la main, la fleur au fusil, advienne que pourra etc… ça chahute là-dedans – on est revenus – travaux etcetera plafond effondré par endroits – le texto d’un de ces matins (l’horreur, peut-être, mais pas pour H. je ne crois, je ne pense pas) « il est parti tout doucement cette nuit » – non, mais c’est ce monde-là – ici ou presque en face

je suis allé acheter un transformateur – j’ai oublié le mien sous la nouvelle table dans le petit bureau – vingt-six e. quand même,merde – tant pis – ici il y a de l’internet – ça manque ? un ptit peu – ce jeudi on va rester une heure quelque part (je ne sais où) (je ne suis pas touitosse, je devrais choisir mais non on verra bien) – ici le camélia-magnolia j’en sais rien du coin de la cour, du jardin, là

au ciné Le ciel est à vous (Jean Grémillon, 1944) (truc d’aviation qui m’a fait penser à ce Commanche à Caro)
dans la boite Les Intranquilles (Joachim Lafosse, 2021) (apparemment inspiré de L’intranquille  autobio de Gérard Garouste)
ixième fois du Dvd histoire du cinéma du Scorcese Martin
en dvd aussi Sayat Nova (Serguei Pardjanov, 1969) six ou sept fois aussi

 

quelque chose me pousse vers l’empire ottoman – je reprends sans doute le voyage autour de la mer Noire –  pondu quatre débuts pour l’atelier – plus un texte pour la revue Les Villes en voix – je repose ici l’autobus

 

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1 Comment

    plaisir de vous retrouver – pour jeudi à part décrire mon écran vois pas très bien, (ou une casserole et des légumes et petit tas de pâtes)
    quant aux réactions de ceux qui sont confrontés à la folie, chacun fait ce qu’il peut