Pendant le weekend

2099 Jeudi 10 Mars 2022

 

 

 

on pourrait dire on met une image par jour pour se souvenir de la guerre et de l’immonde (mais ce genre de truc fait un peu braire – ça représente une espèce de travail en cours (TEC ou WIP) et ça n’aide en rien – enfin je sacrifie quand même) (je me souviens) (ça n’a rien d’un travail en cours)

quelque part sous le soleil exactement (Marioupol) – un type en caisse qui regarde une gonzesse en jupe (elle fait des courses – elle porte des nus-pieds) – le rouge et le vert du décor – aujourd’hui la mort et la désolation (fucking Poutine) – ici l’une de mes égéries (j’ai tendance à me demander si je la trouve plus belle quand elle rit ou quand elle a cette attitude – je la qualifie de tragique)

un tour jusqu’au canal (la poste bouge en max)

dans les parages duquel se trouvent deux expositions

de B2TS

celle-ci en deux fois (posé dans le recensement)

puis poussant et remontant, celle sur les murs de l’école de la rue Eugène Varlin (dimanche est prévue la divulgation de la dizaine de plaques, mais ici le compte-rétro-rendu de gsv : mai 20 (sortie du premier confinement)

juillet 21 (5 occurrences)

de nos jours (11 occrrences)

en face The Bookshop (Isabel Coixet, 2017)

 

 

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3 Comments

    la paix de cette photo (mais le temps là bas semble se mettre au diapason des évènements et la neige semble repousser le tragique dans un peu d’étrangeté face au printemps)
    Quant à l’égérie elle le demeure riante et forte ou douloureuse et forte de faiblesse concentrée

  • Les péniches se font rares (effet d’un blocus ?), mais on aimerait avoir une petite embarcation pour partir faire un tour ailleurs… 🙂

  • @Dominique Hasselmann: c’est tellement joli le canal -le matin quand il n’y a pas grand monde…
    @brigitte celerier : toujours aimée cette Anna Magnani hein…