Pendant le weekend

2144 Samedi 23 Avril 2022

 

 

 

(l’ambition de suivre les évolutions, disons, des images de Carlos Guyancourt que proposait le journal s’est amoindrie depuis qu’on ne peut les consulter sans être abonné – il y a d’autres sources iconographiques disons, mais celle-là s’est tarie) – ici sur le site d’un opérateur (une couleur) (où le complot le dispute à l’erreur (souvent) et la mauvaise foi (toujours)) (comme si l’information « en continue » se devait de se couvrir de boue et d’à-peu-près) hier à un moment

puis un peu plus tard

et encore

ce sont les images qui parlent (outre l’air mi-amusé, mi-intéressé du type, l’emploi du mot « tourment » pour un tueur (de coûts, certes) en cavale vaut son pesant de pièces détachées) – bah – un peu de beauté dans ce monde de brutes (Sonia Delaunay, Prismes électriques 1914)

un tour au salon du livre (irrespirable) (siglé « festival » : le mètre-carré de stand vaut dans les 500 euros/jour – quel éditeur indépendant peut se payer ça ? les auteurs sont assis derrière leurs piles de livres attendant le (ou la) chalant(e) – c’est à pleurer – croisé l’ex-ministre de l’actesud qui accompagnait je ne sais quel québécois trentenaire jet-lagué qui remit un cadeau (« ne le gardez pas pour vous ! ») à un des types de l’organisation – à gerber)

je suis parti aussi vite que venu (salué M. quand même mais parti comme un voleur) marche – ici un arbre bleu qui ne rend pas (dommage)

pour finir

bon week-end votif

 

 

 

 

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5 Comments

    le festival du livre ou comment se débarrasser de ces pouilleux de petits éditeurs et de leurs pépites
    dans l' »entre-soi »

  • C’est le salon de l’agrilecture… Étonnant que la fille Le Pen ne soit pas venue y faire un tour, il est vrai que la culture n’est pas vraiment son « Kampf ». 😉

  • Ah, j’oubliais le roi Carlos (entendu qu’il disait ne pouvoir répondre à la convocation des juges français puisque le gouvernement libanais lui avait retiré son passeport).
    Pauvre « patron » (le nom traduit de son yacht) « tourmenté », comme tu l’as bien relevé, par sans doute quelques jaloux de sa réussite industrielle et personnelle !!! 🙂

  • @brigitte celerier : c’était un peu ça dans une ambiance étouffante et torve

  • @Dominique Hasselmann : Carlitto est bien à plaindre, en effet (et ces Libanais, quel toupet !)