Pendant le weekend

2157 Mercredi 11 Mai 2022

 

 

 

quelques images pour fêter le come back (j’ai vu qu’il en était un autre) d’une bonne semaine de vacances studieuses en bricolage travaux nettoyages rangements et autres joyeusetés types de passe-temps propres à la réflexion

c’est qu’on sait s’amuser quand même – retrouvé ce billet d’il y a trois ans – on a fait du vélo, marché beaucoup; humé l’air presque pur (la chaleur s’est abattue sur le bocage, la sécheresse aussi bien) – beaucoup lu aussi

disons que c’était assez studieux quand même – on atteint ses limites physiques en tout cas (le sommeil se charge de réparer – parfois trop)

on a arrosé le figuier (l’image s’est perdue) qui n’était pas en grande forme (le coup de gel de la fin avril a eu raison des fleurs de la glycine)

(ici à Cerisy Belle Étoile, les rhododendrons en fleurs) (je ne sais plus si j’ai mentionné (je crois que oui) qu’en ces terres le pékin s’est foutu dedans lorsqu’entre deux maux il eut fallu choisir le moindre) (l’immonde fille du borgne arrive largement en tête des votes et au premier et au second tour c’est pour te dire) OSEF ? pas trop non

d’ailleurs le pékin en question épand pas mal le lisier (ce qui contribue à l’ambiance, certes)

on continue de couper des arbres, seraient-ils centenaires – rien à foutre – on artificialise les sols – quelques hectares transformés en centrale à béton – rien à foutre – l’important c’est l’argent point barre – à pleurer – sur la margelle du puits

les fleurs de R. toujours vaillantes

 

en dvd Géronimo (Tony Gatlif,  2014) formidable (et Céline Sallette dans le rôle titre : extra)
11 Fleurs (Wang Xiaoshuai, 2011) (littéralement le titre dit « J’ai onze ans ») tellement bien -on avait apprécié son So long my son (2019)

au cinéma À l’ombre des filles (Étienne Comar, 2022) choral et Alex Lutz assez crédible
Quién lo impide (littéralement Qui nous en empêche – en français Qui à part nous) (Jonás Trueba, 2021) le rapport trouble du documentaire à la fiction (j’adore) – une formidable jeunesse – un film magnifique (un format de 3 heures 40 plus deux entractes de 5 minutes, qui passe comme enchantement)

 

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4 Comments

    quel plaisir ! vous retrouver
    et puis partage « (le sommeil se charge de réparer – parfois trop) » et les arbres sacrifiés (rage)

  • @brigitte celerier : merci à vous – apparemment le site ne marche plus trop bien (plus d’import d’image) – je vais tenter de réparer –

  • C’est l’époque des retours (on se retrouve même en Mai 68 avec Krivine grâce à France culture), la nature s’ébroue… 🙂

  • @Dominique Hasselmann : retour assez provisoire (ce sont les beaux jours…)