Pendant le weekend

2122 Mardi 18 Octobre 2022

 

 

 

pur la 7 quelques clichés rapprochés

à ton avis, tout n’est-il que combat ?

je regardai ce garçon, ces images qui datent d’un siècle pratiquement

cette dernière probablement antérieure aux autres – puis passa le temps – puis le siècle, vingtième du nom, puis les feuilles

ailleurs et ici

puis j’ai rangé (pas mal, plutôt beaucoup, découvert pas mal – beaucoup – de choses : son livret militaire, un curriculum vitae écrit de sa main, des dizaines d’images de ces temps – d’autres écrits encore – j’ai cherché des images sans les trouver, mais peu importe) (écouté en boucle qui tournait chez le chasse-clou Laurie Anderson) (merci !) continué à faire la cuisine (sommairement) et des courses (même motif) – la pluie presque toute la journée a baigné le truc – on s’en fout mais le moral y perd un peu de son entrain –  un peu de nouvelles (soigne-toi), un peu de travail en perspective (enregistré ma voix pour la proposer au studio – horizon ? peut-être bien) cette image qu’on a attachée au mur

le « en regardant Venise » de Mary McCarthy (chez Payot) – oublier – le soir partir pour le cinéma 2 de Beaubourg plein comme un œuf où était remis à Teri Wehn-Damisch un prix de la société civile des auteurs multimédia

intitulé Charles Brabant (du nom du fondateur de cette société) – recadrer en sentiment plutôt qu’en point

productrice d’émissions de télévision (Ping-pong et Zig-zag, tu te souviens) puis réalisatrice de documentaires en forme de portraits d’artistes – on a regardé le 52 minutes qu’elle consacrait à André Kertézs en 1986 – dont on avait vu la rétrospective au jeu de Paume, en 2010 je me souviens – soirée charmante du fait de cette dame magnifique (cependant ce genre de réunion sociabilisée donne quelque nausée – un ancien directeur de ce centre dont le nom ne figurait pas sur la liste – il était juste devant moi (je tais son patronyme par charité) – le mien non plus, je n’en ai pas fait le plat qu’il a donné à déguster rappelant à la jeune femme assise et qui contrôlait son ancien poste dans la maison – ça c’est Paris : la hiérarchie, à ce niveau, ça ne mérite même pas le mépris) en revenir heureux et sous la pluie…

 

 

 

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4 Comments

    l’est beau (pour le 7 pris connaissance hors seulement et suis ennuyée parce que j’ai pensé à une succession de tablées et que j’ai découvert ensuite le texte de Bergounioux qui en comprend une et ne voudrais pas avoir l’air de piquer l’idée… après mon trop net et involontaire démarquage pour le 5 – bon de toutes façons sais pas trop quand j’aurais le temps de me faire esprit libre)
    pour le reste suis si étrangère à ce monde (mais moins en un temps à titre de spectatrice des premières et seule participante en cette qualité à des semblant de master class où ces questions de hiérarchie derrière la fraternité est sans doute la même ce qui fait que je crois saisir un peu)

  • @brigitte celerier : merci ! (les feuilles hein…) (pour le banquet, vous savez il n’y a que quarante ou cinquante histoires, on est bien obligé de « piquer » comme vous dites- ça n’a strictement aucune importance)

  • Je me souviens de ces émissions de télé, on pourrait rajouter celles d’Averty : l’invention « dans le poste ».

  • @Dominique Hasselmann : ça a bien changé hein… (merci de passer)