Pendant le weekend

2127 Dimanche 23 Octobre 2022

 

 

passé par la rive gauche en auto – trop bien – on s’est garé devant la rue Huysmans désormais fermée aux voitures (la Varda ne tournerait plus dans Paris – ce n’est pas une ville pour les autos (sinon pour les quatre/quatre hybrides à plus de cent cinquante mille, mais là, la municipalité ne peut que courber l’échine – la loi est la loi et le (fucking ?) crit’air est ce qu’il est), définitivement peut-être) sur le boulevard passaient des Bulgares

doux calme tranquille – on a été chercher le colis, on est revenus par le Sébasto (chartier a ouvert une annexe/succursale à la place du restaurant alsacien de la gare de l’est – publicité gratuite (souvenir d’une marche joyeuse : j’ai décidé de laisser faire) – je les ai déposés (A&G et le colis) back to the parking croisant ce petit métier karchérisant

écrire courses repas pizza préparer des pommes de terre aux anchois et câpres – toujours lisant écrivant (note d’intention étude code QDA) (on en saura plus un jour si ça se fait) – en spéciale dédicace à MdB (aka MCH) ce magnifique tissage

et ce ciel dont on pourrait tous les jours poser l’échantillon (aéronefs)

puis le soir théâtre – cette image en y allant (demi-douzaine et Gg)

eh ben (ma carrière d’influenceur est tracée) – fait ces images (la pièce est parfaite, bien qu’en portugais, sur-titrée heureusement)

ici

et là

Catarina ou la beauté de tuer les fascistes (texte et mise en scène de Tiago Rodrigues) (aux Bouffes du Nord où planent toujours Peter Brook et le Mahabharata (Avignon, 1985) et Jean-Claude Carrière) (la place à 22e quand même (mais trop merci !) (tentative – réussie – de la mise en pièces du quatrième mur) (adoré l’un des hommes du public qui se lève et va vers la scène en criant « ta gueule ! »)

 

 

Share

2 Comments

    oh j’aurais aimé être ans la salle ! et il faudra qu’un jour avant de disparaître je goûte aux escargots

  • Cette salle de théâtre résiste au temps (et même à la disparition de Peter Brook) !

    Tiago Rodrigues se fait donc les dents à Paris avant de se soumettre, l’été prochain, à la critique de dame Brigetoun… 🙂