Pendant le weekend

2256 Lundi 27 Février 2023

 

 

 

la lecture devait être faite devant un parterre, une classe je suppose (sans doute quelque chose comme celle de l’Inalco) – c’était entendu, donc je devais lire je me lève, je lis, je continue sans bien comprendre,je n’y parviens pas – je recommence, même jeu – non je n’y arrive pas, je recommence tout dis-je d’une voix assurée, et je m’y remets : toujours impossible, deux lignes peut-être mais pas plus – réveil brutal

quelque chose a changé et c’est très probablement l’âge qui s’avance (il y a eu aussi l’écoute du carnet de qui indique (un peu) la même problématique) – la voiture dans les rues de Paris le matin, une merveille – personne – le plan de circulation chamboulé – des sens interdits, des rues fermées – on ne s’en rend que peu compte en marchant – ce n’est pas non plus en conduisant qu’on peut prendre des photos

comme je ne prends plus de photo elles manqueront – le nino devrait arriver cependant – administration, rendez-vous retraite, prise de rendez-vous contrôle technique – je suis fatigué

en lecture (cependant) Indio Cesare Battisti (qui me fait souvenir de Vincenzo Vecchi) (rendez-vous au 24 Mars pour le délibéré) et Gouverner la science (Joël Laillier et Christian Topalov, Agone) sous titré Anatomie d’une réforme 2004-2020 (qui explique et documente le saccage de l’université par l’État lui-même et ses sbires gestiono-technocrates (fort bien rémunérés, bizarrement))

obituaire : Michel Deville

et Daniel Roche (dont on a tant apprécié l’histoire des choses banales)

 

au ciné Petites (Julie Lerat-Gersant) (dédié à ses filles) entre enfant et mère (histoire de famille) (un peu trop naturalisto-social à mon goût – on se demande,par exemple, quelle profession exerce donc la mère de l’héroïne)
en face Goodbye, Lénin ! (Wolfgang Becker, 2003)

 

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2 Comments

    je disais ce matin` »ai beau faire (ou plutôt ne pas faire) ma vie se rétrécie et je manque beaucoup de vous, désolée »
    et je pense que tant vous tant lui vous faites tant et tant

  • @brigitte celerier : merçi toujours à vous