2743 Jeudi Premier Mai
ça existe une journée pour rien ? si oui c’était hier – j’avais tout mis en place, les documents, les nouveaux fichiers, pas la musique je reconnais mais tout est resté en l’état – la médecine (ou la faculté) à laquelle j’affirmai vous savez je suis vieux maintenant j’ai tout le temps froid eut le front de me répondre avant quatre-vingt ans on n’est pas vieux – alors après non plus dis-je ces trucs-là c’est dans la tête
je suis passé voir Max pour une ceinture mais bernique
j’ai rendu la bio de NY sans le moindre regret
j’ai lu le numéro de positif parce que je me souviens de Robert Benayoun et de son goût pour le surréalisme (et aussi de Michel Ciment et de son goût pour les arts graphiques) mais le truc ne m’a pas convaincu (j’ai regardé avec un léger mépris le numéro des cahiers sans le prendre)
pour marcher j’ai marché
ça n’a pas bougé d’un iota je recommence ce jour (sans doute à cause de cette météo indigne je suppose) – prunus der des der
le block note du jour m’a beaucoup impressionné (pour le reste je m’en fous)
le soir ciné – en sortant une vague sensation de Shining (Stanley K, 1980) (un de mes préférés)
et donc La chambre de Mariana (Emmanuel Finkiel, 2025) (ce qui m’étonne c’est cette production délocalisée en Hongrie – très spéciale, d’autant qu’a moitié (me semble-t-il) co-produit par Israël – ça n’a pas du être facile (le Portugal a mis aussi au pot) (on ne s’en fout pas) le film n’est pas si mal (du beau et du bon cinéma) (j’ai pensé au journal d’Anne Franck) Mélanie Thierry envoie grâââve (elle était déjà formidable dans La douleur (réalisé par le même en 2017) – soft power comme dirait l’autre (bah)
vous avez toute mon admiration jeune homme
grande envie moi de tout fermer, famiglia, atelier, paumée… et tant pis pour ce que je laisserai derrière moi
pas grave (soyons égoïste) – bon continuerai à lire quelques uns
Vu les critiques dithyrambiques, je m’attendais à un chef-d’œuvre alors que je fus envahi d’un certain ennui. Le livre est sans doute mieux… 🙂
@Dominique Hasselmann : la critique est un plat qui ne se mange pas. Merci à toi Dominique
@brigitte celerier : trop aimable, chère amie – mais non, continuez… Merci à vous en tous cas Brigitte