Pendant le weekend

Oublier Paris # 9

Après avoir écrit untexto

j’ai pris la rue où, sur un immeuble sans numéro, se trouve cette plaque :

de carvalho

puis m’en suis allé au café retrouver ma camarade Martine Sonnet.

café gay Lussac

En partant, j’ai légèrement et sans le savoir vraiment obliqué vers la le début de la rue de l’Abbé de l’épée (j’aime ce coin, ses arbres et son calme), puis dans la

saint jacques

au

260 st jacques

se trouve celle de Milou pour les intimes :

Durkheim

Où est-il donc parti ensuite ? Je ne sais pas, peut-être avec son neveu, le natif d’EpinalMarcel Mauss

Il me semblait que, dans ces parages vivait Françoise Dolto, mais nulle part quelque souvenir…

Il était à peu près

11heures

et presque au coin, au

34 gay lussac

voici le poète, à nouveau, « les Passantes » ou « Le petit cheval » :

Paul Fort

Suivant le même trottoir de la rue

rue gay-lussac

cette plaque, doublée de cette autre :

paul valéry

qui prouve donc qu’en ville, n’importe qui voisine avec n’importe qui. Dans une certaine mesure. Ou une certaine classe. On en aura une preuve supplémentaire si on traverse la rue, d’ailleurs, au

9

par cette annotation :

Picasso

Le « définitivement » peut donner à penser…

Et allant vers le croisement, à nouveau au

1gay lussac

on trouvera

mounet sully

Sans doute en ai-je manqué… J’ai continué, sur le boulevard, doublé la rue Soufflot

panthéon

Et là, sur le boulevard (quelle heure pouvait-il être ?) Saint Michel

boulevard Saint michel

le temps s’arrête, le frère du précédent

P Mounet

né aussi à Bergerac dont on aime le Cyrano…

On descend le boulevard, on reprend le métro

métro saint michel

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