Pendant le weekend

Vingt quatre neuf quinze

 

 

Ouf !! Nous sommes nombreux à pousser cette exclamation de soulagement : il faut dire qu’on a eu peur, hier, de voir que le pédégé de cette firme qui construit des autos venait de donner sa démission (on a bien lu : sa démission…) pour une vague histoire d’algorithme fâcheusement exprimant des performances (oui, voilà, des performances) erronées desdites autos quant à leurs productions de dioxyde d’azote. Ouf !!! redis-je car enfin, cet homme, soixante huit piges aux pelotes, ne partira pas sans une voiture de fonction (à vie, merci bien) et aussi, j’allais oublier, peut-être (si tout se passe bien, mais n’a-t-il pas derrière lui, déjà, de nombreux fleurons à son palmarès  financier dans cette entreprise ?) une soixantaine de millions d’euros (ça ira, pour passer le reste de ses jours ?). Jalousie ? Certes. Quand on pense que celui de la régie va être obligé de bosser encore 8 ou 9 ans (jte jure que c’est vrai, 8 ou 9 ans…!) pour gagner la même chose, je sais pas vous, mais moi, ça me fait beaucoup de peine

(à l’image le fleuve du pont de la ligne qui va d’Italie à Pantin) (le truc qu’on voit à peine, droite cadre, vert, est une horreur mais on le voit à peine-j’aime bien les petites figurines sur le pont charly qui vont bosser sans doute-c’est huit du mat)

pont métro italie pantin

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