Pendant le weekend

Vingt deux onze quinze

(les merveilles du monde – ça devient une belle rubrique – : le palier du 5° étage est tel qu’en lui-même après le passage et du feu et des pompiers : rien n’a été fait, les murs sont noirs comme le plafond, on a nettoyé légèrement le sol, les portes des deux appartements sont en ferraille anti-effraction et les voisins vivent là -lui mon voisin M. m’a appelé l’autre jour, tu vois la différence ? c’est beau comme de l’antique) hier soir c’était cinéma avec « Une histoire de fou » (Robert Guédiguian, 2015) qui prend une dimension tragique ces jours-ci (recommandable, mais appliqué)

la chapelle 21 11 15sans titre2

(en revenant, sans le point, une demi-dizaine de personnages assis, plus un debout qui consulte son téléphone probablement)

ciel villette 22 11 15(ce soir au dessus des toits)

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3 Comments

    Je n’ai pas été au ciné depuis le soir du 13 novembre : je me demande s’il y a un rapport.

  • Moi non plus je n’y suis pas allée, nous avons les yeux trop pleins ?

  • @Dominique Hasselmann et @L’Employée aux écritures : illusions et désillusions… le temps nous aidera peut-être à retrouver notre gaieté (on l’espère : que reste-t-il, sinon ?) (d’autant qu’on ira voir « Mia Madre » de Nanni Moretti -vu le film annonce, là). Merci de vos passages mes amis