Pendant le weekend

Quatorze huit cent soixante huit

 

 

Mon été fut Modiano (le livre réunit dix de ses romans) (le wtf éditeur – celui qui a voulu que la rue soit à son nom- n’a pas jugé bon de mentionner la bibliographie complète du littérateur (ce type-là, moi, je l’adore), ce qui est simplement indigne) (omnibus ça doit être pour ça)

Paris Rue Costou le Diams

le garage de la rue Coustou (Paris 18) (sans doute dans « Les boulevards de ceinture » je ne me souviens plus bien) le « Diam’s » est là un restaurant de fruits de mer (sans doute dans les années 2005-6-7 quelque chose).

Un peu plus tard

Diam's bar rue Costou Paris

ça devient un  bar (« Diam’s bar ») (de nuit, type entraîneuses, bouteille(s) de champagne, cigarettes et whisky) (on est à Pigalle quand même, faut pas non plus) (vers 2010 je crois).

Puis plus tard encore, soyons plus explicites :

Rue coustou pin'up

le garage quant à lui reste tel qu’en lui-même… (on ne serait qu’à moitié étonné de voir sortir une américaine, mais non, rien…) (recensement de tous les hôtels cités dans les dix textes) 

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2 Comments

    Ce sont des photos « robotisées » ?

    Je me demande quand la perche fichée sur leurs voitures sera suffisamment téléscopique pour capturer l’intérieur des appartements (en floutant, bien entendu, les marques de téléviseurs ou réfrigérateurs, on a de l’éthique, quand même !)…

    Modiano, bon choix pour les voyages dans le passé.

  • @Dominique Hasselmann : pour les photos, oui, elles sont du robot -recadrées/contrastées/touillées seulement par ton serviteur…