Pendant le weekend

Douze deux cent cinquante six

 

 

En arrivant au cinéma, ils étaient là : elle

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et lui

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(je lui ai coupé un doigt, pardon de le souligner) (ce sont les deux héros d’un des plus beaux baisers de cinéma qui puisse exister -parce qu’il combattait la bêtise crasse de la censure d’alors – ce fumier de mac carthy qui arrive par exemple aussi – passons, on en parle ailleurs) (« Notorious », ou « Les enchaînés », Sir Alfred, 1946) pour voir « Mal de pierres » (Nicole Garcia, 2016) (y’a intérêt à aimer Marion Cotillard) c’est du vrai cinéma comme on l’aime (enfin à Cannes cette année, ça a été : rien) (y’a Louis Garrel, et c’est vrai que c’est pas facile non plus) (la belle force de l’hystérie) puis on a marché un moment (Alex Brendemühl a le beau rôle) (ici la sortie – de secours – du théâtre de l’Atelier) (scénario Nicole Garcia, Jacques Fieschi adapté librement d’un roman de Milena Agus)

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c’est qu’en ville on aime à marcher, dans le métro précédemment on avait croisé une connaissance

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qui allait à l’opéra voir « Lucia di Lammermoor » (Gaetano Donizetti, création 1835) (sextuor de l’acte 2 etc.) (Lucia refuse d’épouser un riche benêt -elle en aime un autre – qui seul pourrait sauver sa famille de la banqueroute, l’épouse quand même, le tue devient folle et meurt) (prix des places de 63 à 135 euros) (autre chose que les 6.5 du ciné qui sont déjà quasiment un scandale) (jte raconte pas la réduction chômeur non plus) enfin les classes sont différentes sans doute (je l’ai doublée)

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(la deux est mieux, avoue) (encore que j’aie été obligé de retoucher) (les teintes de la une sont mieux, avoue)

 

 

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