Pendant le weekend

Onze un trois cent dix sept

 

 

 

J’ai des emmerdes avec le site de « maison(s)témoins » qui s’allume en rouge quand je tente de l’ouvrir (style « vous êtes en train de tenter d’entrer sur un site dangereux »), moi qui voulais poser quelque chose sur « Le ruisseau, le pré vert et le doux sourire » (Yousry Nasrallah, 2016) eh ben c’est niet bernique – tiens je vais te coller quand même l’image de son visage ici

il a été l’assistant de Youssef Chahine (1926-2008) dit la chronique – et on reconnaît le style débridé, sinon bordélique, un peu, du lascar – Chahine était un lascar y’a pas à dire – d’ailleurs dans ce métier de cinéaste, il semble que ce soit souvent le cas – voyou, opportuniste, jouisseur : tout ça à la fois – un peu comme un portrait de Toscan du Plantier si tu te souviens – ou de François Truffaut – je n’aime ni l’un ni l’autre jte dirai mais ça, ce sont mes goûts sauf pour les Doisnel disons, et Don Giovanni de Losey pour l’autre mais passons) c’est un joli film, assez violent, très drôle et enjoué aussi, et qui rapporte quelque chose à ce pays, l’Egypte, dont on croit qu’il est dépourvu (mais on a tort de le croire) : la joie de vivre et de jouir de la vie.

Brèves : la saisie se termine, la compta tout autant, mes factures ont été rejetées pour une sorte de vice, je suis complètement écoeuré mais n’importe puisque je lis cette mort de Brune – j’en suis à la page quarante et toujours aucune mention de ce – ou cette ? – Brune (je connais le boulevard qui est dédié au maréchal général dans le 14 – il a clapoté en  15 du 19°) (peut-être à Waterloo ? non, assassiné le 2 août à Avignon, punaize) (moi, les militaires et les curés, va savoir pourquoi, je les agonis – là on le plaint alors…) (je croyais, tout à coup,que ma grand-mère paternelle y vivait, mais non, c’était sur le Jourdan, je me souviens) (c’est jamais que de l’autre côté du carrefour, en même temps, vu qu’elle vivait au cent six, juste à la porte) (mon street view fait des siennes, fait braire)

(en attendant un moment, on verra apparaître un immeuble d’une dizaine d’étages, je crois , que cette grue aide à bâtir) (disons qu’il s’agit d’un chantier)

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2 Comments

    Il faudrait réserver la circulation de la rue de Belleville aux piétons et interdire aussi les grues : ça pollue (et interdire, pendant qu’on y est, de fumer en plein air, tant pis pour les ouvriers sur les chantiers)…

    Enfin, avec la nouvelle « Samaritaine » et la rue de Rivoli bientôt (?) ramenée à la largeur de la rue de Lancry, on aura fait un beau progrès (entendu hier matin à France Inter le journaliste interrogeant l’adjoint au Maire chargé des pbs de transports, qualifier Madame Hidalgo de « nouvel Haussmann »…).

  • d’accord pour Truffaut (pour Toscan du Plantier je rajouterai Ran de Kurosawa parce que c’est un film aimé) et ce que vous dites de Yousry Nasrallah est tentant (sauf que j’ai perdu l’habitude d’aller au cinéma parce qu’à une époque j’étais incapable de faire la queue)