Pendant le weekend

Vingt deux / trois cent cinquante six

 

 

(je me suis planté dans mon statut, et ça va mal et ça dure) (j’assume tant pis, le truc c’est plutôt comment je fais pour payer les assurances ?) (je continue mon bazar – à présent, saisie, reste un jour, et encore et encore) reçu ce spécimen par la poste

en droite ligne de mon ami libraire (la poste, POP post office protocole évidemment) (où l’a-t-il capturé, mystère) (si on me demande, je dis : « au Louvre, quelle affaire…! » avec l’aplomb le plus spectaculaire) (si quelqu’un a déjà vu cette bestiole, qu’il m’indique où elle gît) (en tous les cas, c’est le #291) (le suivant beugle et fait #292) (les deux se trouvent au British Museum, chez sa très gracieuse Majesté)

au cinéma « La la land » (Damien Chazelle, 2016) (erreur de casting fondamentale avec l’interprète de Sebastian Wilder – Ryan Gosling qui rit quand il se brûle) (Emma Stona aka Mia Dolan est au contraire d’une présence assez splendide) (le précédent du Chazelle (32 piges…) – moi, il me fait penser à la rue du même nom, laquelle borde le pâté de maisons traversé par la rue imaginaire ou repose l’immeuble de La vie mode d’emploi (Georges Perec, 1978) – je m’égare – « Whiplash » (2014) avait pour lui l’amour de la musique, ici aussi, et c’est tant mieux) (le premier plan, générique, est une merveille, et le film est plutôt joli)

en DVD, « Biutiful » (Alejandro González Iñárritu 2010) pas facile mais en conversation avec l’au-delà (le type est médium, cet aspect là du film est magnifique, j’ai trouvé) (prix d’interprétation à Cannes en 2010 pour Javier Bardem dans le rôle principal, Uxbal, qui meurt d’un crabe à la prostate…) (musique Gustavo Santaolalla, magique)

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