Pendant le weekend

Vintgt et un deux = trois cent cinquante sept

 

 

le carnet de E. : une merveille

elle passait par ici, ce dimanche, on a bu du schpritz (rouge, pas orange)

puis elle s’en est allée prendre son train, pour ma part je me débats avec ces dettes, ces non-paiements, ces travaux à terminer (saisie, fiches de paye compta etc…) et je suis épuisé (je dors mal, je cauchemarde, je me réveille à 3 les pensées bourrées de chiffres…)

Froid dans le dos, de plus, en constatant la déréliction de l’équipe de gouvernement de la première puissance (économique ?) du monde (dit-on) et l’inanité torve de son leader, qui rappelle tellement celle de bénito, ses gesticulations et ses mots-mêmes, cette ordure et ses chemises brunes…

La grue de la rue en action

aujourd’hui je finis le terrain, je vais chercher le livre sur les pierres, je vais tenter de ne pas me noyer dans les hôtels (les avis, parfois, sont tellement blessants…) : l’irruption d’un d’entre eux dans la boîte aux lettres de la maison(s)témoin, à paraître demain, m’a vraiment choqué.

Il fait doux (là-bas, C. et B. ont terminé leur déménagement; on a loué pour l’été une semaine quelque part en France, on aura à ce moment un nouveau gouvernement président chambre député tout ça : les temps me sont tellement troubles…)

 

 

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2 Comments

    Le vol des grues dans les rues annonce peut-être le printemps ?

  • @Dominique Hasselmann : en escadrille, ce serait plus sûr…