Pendant le weekend

18 mai 809

 

 

ce n’est pas qu’il ne se passe rien (mais rien ne bouge cependant) (le livre sur Venise sera suivi d’un autre sur Lisbonne j’ose croire : je me renseigne, le marquis de Pombal (aka Sebastião José de Carvalho e Melo) (et le robot en offre une image splendide) (si je peux me permettre) (laquelle sera dédiée – outre aux afficionados de pendant le week-end – à l’ami photographe avec qui – et par qui, surtout – ces ouvrages verront le jour)

et l’aéronef s’envole…

Hier je suis allé au colloque sur les images de mai 68 (organisé par la Binaf et Audrey Leblanc) (journée d’études je m’intéresse, comme tu vois : du point de vue de la sociabilité, cependant, j’ai des progrès à faire) : quand on arrive ou qu’on part de cette immense institution (les arbres, dans leur prison c’est juste une horreur) on a droit à ça

une telle horreur aussi (devant l’entrée du cinéma – il y a un cinéma, là, une quinzaine de salles, industrielles, à vomir tout autant – il y a quelques petites estafettes où de jeunes gens s’ingénient – armés de tablettes, ils font modernes tout en faisant nature – à en nourrir d’autres – une barquette de frites 3.5 euros) mais il fait beau à défaut de chaud… Ensuite, clôture du séminaire.

Ce n’est pas qu’il ne se passe rien, non. Mais rien ne bouge…(encore que, sur l’aiR Nu on lise (« on » c’est-à-dire mme Savelli) un extrait de l’indispensable « Le déchaînement du monde » sous titré « logique nouvelle de la violence » de François Cusset (et le « Détroit, dit-elle » de Marianne Rubinstein – qui a l’air (!) extra)

 

2. pluie et peinture , 18 mai 2008, 15:50

les ateliers ouverts, aux Folies 3,5 euros le cocktail tentation, le monde des rues qui soudain s’est changé, plus de blancs, plus d’habits de soie, plus de robes et de vestes chics, des plans, des ombrelles et des parapluies, pas été voir les amis encore, demain peut-être…

 

 

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2 Comments

    il faut bien que nous finissions par nous y faire à ce nouveau monde où les arbres sont des éléments de décor bien encadrés (n’ont pas encore trouvé moyen d’éviter la chute des feuilles) où le cinéma affiche qu’il est une industrie comme une autre, où les industries n’ont pas d’autre but que de fabriquer de l’argent… et espérer que notre présence et notre regard l’abime un peu

  • @brigetoun : il ne sera pas question de s’y faire, non. Certainement pas. Amitiés, brigetoun