Pendant le weekend

25 octobre 969

 

 

raccrocher les wagons, reprendre le harnais, le joug, la chaîne (le boulet, c’est sans doute le questionnaire) (en réalité, le travail me va bien, ce sont les conditions qui défaillent) (hier on me disait « mais il faut l’appeler à chaque fois que tu as besoin de rentrer dans ton bureau ») (ce n’est pas mon bureau – et je n’ai pas le téléphone) (ce n’est rien, tu le sais bien, le temps passe, ce n’est rien)

(image d’une femme qui attend peut-être bien un train dans la gare de Shimla – terminus du Kalka Shimla tout au nord de l’Inde) (il y a dans la bibliothèque l’omnibus de Nicolas Bouvier, qu’il faudra lire) (il y a (jamais) trop de choses à lire)

(petite maison dans l’est de Cincinnati, Ohio, US – là où se promène OH ces temps-ci) (les colis piégés étazuniens ont quelque chose de l’extrême droite, mais qui peut le dire – je ne sais plus, mais le conseiller viré quelque chose non ?  – ça rappelle un peu l’antrax après le onze septembre deux mille un) et ici un petit restaurant dans la même ville (il y a l’hiver qui rapplique : est-ce qu’on est rassuré ? OSEF – il y a eu trois chansons à la cérémonie, « Laurette » par Michel Delpech, « Trois petites notes de musique » par Cora Vaucaire et Mouloudji (Marcel) dans son majestueux « Un jour, tu verras »)

on retournera au cinéma, voir des expos, et se promener dans les rues, bien couverts sans doute

 

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