Pendant le weekend

1540 Mercredi 26 Août 2020

 

 

 

Les poèmes-express de Lucien ont recommencé (on ira à mille) (on a droit à quelques garçons-bouchonnades de Ivar Ch’Vavar aussi – Ivar Ch’vavar poète picard comme on sait (?) – vavar peut se traduire par crabe, soit Ivar le Crabe si on préfère) la « rentrée » pousse derrière la fin de semaine (on en termine – rien de pire que des vacances qui se terminent un premier septembre (typique des blouses grises et des écoles non mixtes chères à l’abruti de service – chauve de surcroît : mais pour le max gratuit faudra repasser : joli message de gouvernement, la clâââsse comme d’habitude) beau temps

(la souche Corentin en pleine évolution (puisqu’il faut bosser,on bosse)

certains dorment (stase de l’atelier, oubli de parution – ici la 11 mienne) (ça viendra)

le cardiologue qui ne répond pas (maux de crâne nocturnes); le plombier qui ne répond pas (devis en souffrance); le locataire quine répond pas (doit être dans son pays, sous-loue cependant…); mais un café aux Folies avec les amis A & G de retour de vacances (les 3, 6.60) (merci pour le kouign-aman !!!), et la découverte d’un petit cliché de B2TS (un habitué du lieu sur l’image : pour le photographe personne ne le connaît)

il fait beau, je me souviens de la fin des années soixante, et des deux ans suivants durant lesquels juillet et août n’étaient que travail et économies : les derniers dix jours d’août à quinze heures par jour pour boucler l’inventaire pneumatique…) en passant

au ciné « The perfect candidate » (Haifaa Al Mansour, 2019) scénario et direction d’actrices (et d’acteur : le père n’en fout pas une) très perfectibles

en replay Les guichets du Louvre (Michel Mitrani, 1974) (reconstitution du 16 juillet 1942 à Paris dans le Marais, la rafle du veld’iv comme on l’appelle, qui indique clairement le rôle central joué par la police française dans la déportation et l’assassinat  des Juifs de Paris; treize mille suivant certaines évaluations); (le film qui a subi la censure de Michel Debré (alias l’entonnoir Michou la colère) (FO) (à l’époque, 1974, contre la loi Veil évidemment), n’est jamais sorti en salle… : cette parenthèse (mais pas les 3 qu’elle intègre) est assez sujette à caution, michou n’était pas au pouvoir et il semble bien (merci Employée) que le film soit sorti en salle en août 74…) (Christine Pascal dans le rôle de Jeanne : parfaite)

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2 Comments

    pour le blog de Lucien Suel, petite tristesse, ne peux plus le lire (déchiffre mal et mes yeux gueulent qu’ils ont mal)

    pui les guichets : ajouter une honte à une honte

  • Arte fait du bon boulot, heureusement qu’il y a cette chaîne apparemment non entravée ! 🙂