Pendant le weekend

1819 Vendredi 4 Juin 2021

 

 

 

 

 

(coup de tonnerre dans un ciel agité plombé terrorisant : la facture de moquette en relance – trois mille deux cents quand même) (le spectre de la faillite) mais qu’est-ce en regard du sort de Fariba Adelkhah ? Deux ans de prison demain – on organise un dévoilement à la mairie de Paris ce samedi – en attendant  ces liens

1/ ce message:
https://faribaroland.hypotheses.org/10327

2/ la manifestation virtuelle réalisée à partir du portrait de nombre d’entre vous demandant sa libération:
https://faribaroland.hypotheses.org/10341

3/ l’invitation à venir le samedi 5 juin à 11h45 à la Mairie de Paris Centre, 2 rue Eugène Spuller, pour dévoiler la photo de Fariba sur la facade de la mairie

4/ l’article du CNRS:
https://lejournal.cnrs.fr/articles/fariba-adelkhah-un-combat-pour-la-liberte

 

on fait ce qu’on peut – il tonne, il pleut, cinq heures sur babylone (les plans de tomates seront rincés) (et je suis ruiné)
j’écoutais cette causerie hier – j’ignorai qu’il se fût agi d’un certain Edhem Eldem – il y avait cette image

qui sont-ce ? m’interrogeai-je (en tout cas, pas la moindre gonzesse – et ces poses…) les éclairs, le tonnerre, la pluie et ses claquettes (les gouttes sur la tôle d’Edouard Glissant, je me souviens) – name dropping :

Camillo Cavour, Henry Richard Charles Wellesley Cowley, Karl Buol, Alexeï Fiodorovitch Orlov, François-Adolphe de Bourqueney, Joseph Alexandre de Hübner, Otto Theodor von Manteuffel, Alexandre Colonna Walewski, George Villiers, Mehmed Emin Ali Pacha, Philipp von Brunnow, Salvatore Pes di Villamarina, Maximilian Graf von Hatzfeldt-Trachenberg, Mehemmed Djemil Bey, Vincent Benedetti et Napoléon III

je ne « (re)connais » que le premier et le dernier… (non, le 5 a dû donner son nom à une façon de préparer le veau, il me semble) (c’est ça)

pantalons/bas/fez/parements – tout le kit pour se partager l’Europe, ou le monde, ou vaincre la Russie du tsar Alexandre deux – il y a plus de cent soixante ans d’ici (ce genre d’engouement pour l’histoire est une affaire de vieillards, le temps manque vu qu’on sait que rôde la camarde – elle ne m’a jamais pardonné non plus d’avoir semé des fleurs dans les trous de son nez, elle me poursuit tout autant, tsais, de son imbécile zèle) – une image du plumbago qu’on offrît à M. il y a deux ou trois ans de ça (sa taille d’alors multipliée par peut-être dix) (ce que c’est que la main verte…)

(un doux parfum qu’on respire – probablement) (on t’embrasse, M.)
(tu sais pourquoi la photo du café TEC est moche ?

à cause du flash – il est touillé en plus) (le café, pas le flash)
– ça tombe encore dans la rue, babylone sous l’eau – et cet aprèm (re)trouvaille au bar QG de la trésorière – un message de l’ami Guy from L.A qui publie bientôt (en commande au Ground Zero) à l’Attente –  tous ces gens qu’on embrasse alors – le jour est debout la pluie cesse et ne gronde plus le tonnerre

un petit café, peut-être bien

Share

2 Comments

    bon ce n’était que des ministres…(Ministres ou pas l’étonnant surtout à cette époque aurait été la présence d’une femme)

    merci de nous rappeler inlassablement (enfin il serait préférable que vous n’ayez pas à le faire) le sort de Fariba Adelkhah

  • Ce nouveau gouvernement de Macron, qui a bénéficié d’un peintre officiel, montrant ainsi la non-captivité de l’exécutif à la photo numérique, est tout à fait remarquable.

    Les femmes préparent les petits fours, tout est en ordre. 🙂