Pendant le weekend

1988 Samedi 20 Novembre 2021

 

 

 

lectures toujours – écriture peu – panorama psychanalytique de la première moitié du premier siècle d’existence (elle apparut avec le cinéma) mais le livre (la Fabrique, histoire populaire de la psychanalyse, Florent Gaborron-Garcia, 14e) montre pas mal d’incohérences – une image du jour ((c)Denis Pasquier)

autoportrait en ombre portée – réussie – je continue à planer cinéma (ça ne fait rien, mais ça ne fait pas avancer le travail – deux fois de suite la mention de critique qui m’est accolée) – pour Rome ici, un (vrai) travail qui m’apporte une certaine joie (mais après ? rien) – n’importe, je continue (certes)  une image du film

(ça n’a rien à voir (Polanski est un pervers, Moretti non), mais on pense quand même à Rosemary’s baby (1968) (et Alba Rohrwacher n’est que peu comparable à Mia Farrow) à cause de la place que prend l’immeuble et surtout le voisinage dans la narration, peut-être (figure une belle chanson de Léonard Cohen « My my oh my ») – marché courses – lentilles beluga au lard

 

cinétek L’ombre d’un doute (Sir Alfred, 1942) Joseph Cotten inquiétant, Teresa Wright (brune) héroïne hitchcockienne parfaite (ce qui veut dire : tellement amoureuse, tellement sincère et spontanée, tellement trahie…) (mais cette trahison est immédiatement connue de l’audience – comme il disait)

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2 Comments

    oui fait envie ce que je viens de lire sur l’Air Nu (et décidément la place des immeubles : sais bien ça n’a que peu de rapport mais je fais un petit tour en dînant ces soirs ci dans « la vie mode d’emploi »)

  • L’ombre… d’un doute ? 🙂