Pendant le weekend

2178 Jeudi 26 Mai 2022

 

 

 

trop de gris – presque froid – mais pas mal de bleu quand même – rangement : à deux feuillets par quinzaine, le classement des papiers de wtf bank cinquante par an sur 5 ou 6 ans – paquet comak non encore complété

en pure perte je suppose (avant que l’administration reconnaisse ses erreurs, on a le temps de voir passer de l’eau sous le pont, à Austerlitz, Mirabeau ou Avignon) OSEF on continue (mauvaise nouvelle du sanaryote – moins mauvaise du Chasse-Clou) – longuement au téléphone avec mon amie cévenole (elle repassait) – marcher – appel de E. qui finissait sa capsule théâtrale (le travail a du bon (le plus souvent) – elle a peut-être trouvé une place de costumière – on la verra dans le Tori et Lokita des Dardenne quand il sortira)

croiser l’ange

je me suis souvenu du temps où je faisais Jussieu/rue Fabert (où elle vécut un long moment – elle faisait chauffeure de voiture de place – je pars taleur : cette chanson de cette époque-là) à pied, les boites des bouquinistes, les images et cette amie qui vivait entre Dupleix et la rue de Lancry (une autre classe – à Jussieu j’étais légèrement déclassé)

Yourcenar (dont affleurait l’antisémitisme chez Hadrien – je l’ai beaucoup aimé cependant – elle aussi d’ailleurs car des mœurs des autres, qu’en a-t-on à faire ? elles ne sont ni déterminantes ni caractéristiques) par la Savigneau (décidément trop de citations – mais n’importe) – cet arbre de la rue de l’Équerre (tec)

qui veut vivre, absolument (comme nous) – ainsi que ce lierre de chez A.

la parution sera erratique ces prochains jours (back in Babylone lundi) – et que cessent ces turbulences…

Share

2 Comments

    (en passant j’admire l’amie qui non seulement repasse mais avec assez de facilité pour téléphoner en même temps 🙂
    et oui ne pas trop scruter la perfection impossible des êtres admirés… tant que leurs éventuels défauts ne causent pas de mal
    merci encore pour les nouvelles

  • @brigitte celerier : oui, enfin je crois qu’elle (l’amie cévenole) s’est arrêtée pour parler et rigoler quand même (faut faire gaffe avec le fer) – et pour le reste, je peux à peine supporter ce genre de choses chez Margot mais de ma vie je ne lirai les mots de l’immonde saloperie destouches (d’ailleurs son pseudonyme n’est qu’une marque de prêt-ầ-porter) (merci à vous)