Pendant le weekend

2077 Samedi 3 Septembre 2022

 

 

septembre pas trop, »quand vient la fin de l’été » chantait le copain à souchon – « le soleil donne la même couleur aux gens » aussi disait-il – on en est assez d’accord – un sujet de l’ami Lulu : ici Lucien Suel – l’atelier qui repart en images (j’y vais peut-être – des choses sur le feu cependant mais toujours alors pourquoi pas? – un peu de marché, un peu de Mimmo (TEC p 124) – lettres aux assurances retraite et aux unions de recouvrement – un mail de médiateur indiquant suite à ma demande  »

Monsieur,
Les recours devant le tribunal administratif sont gratuits et peuvent se faire sans avocat sur le site : https://citoyens.telerecours.fr
Cordialement, »

on a remercié et on a préparé sa requête (ce sont les institutions qui nous font agir) avançons voulez-vous ?

hier soir il y avait cinéma et on est revenus à pieds – Blanche, Pigalle, Anvers, ces turpitudes – la chapelle de Sainte Rita (qui donne à penser à Orson et sa Rita) – le nino qui travaille tout seul

est-ce vraiment du travail je te le demande – on croise Medrano, la boulangerie ouverte jusque pas d’heure dans la rue des Martyrs, les terrasses qui vomissent leurs clusters (enfin, la joie d’être vivants) (le cocktail ou la pinte s’y négocie à (heures heureuses s’entend) cinq euros) (ou 8 c’est un peu selon) le Diplomate de la place Jeanne Bohec (tu sais qui c’est, toi ? ce sont ces nouveaux toponymes mis en place par la municipalité pour faire place aux filles – prof de maths dans le 18, puis adjointe au maire dudit arrondissement) (non, c’est pas celui-là, c’est celui du 19 boulevard de Rochechouart – rebaptisé Marguerite de Rochechouart – on en reste au même point cependant) – non, on avance

de retour par Louis Blanc, et des petits bidules sri-lankais – ou ceylaniotes je ne sais ici (au deuxième plan)

ou là si tu préfères

il est sept heures moins le quart et le jour n’apparaît pas – FO

 

au cinéma Avec amour et acharnement (Claire Denis, 2022) non, rien (trio infernal vu des milliers de fois, scènes de lit, gens à poil – non, rien sinon, des blessures faites au cinéma) (cinéma français dans toute sa médiocrité)

 

 

 

 

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2 Comments

    est-ce mon détachement de plus en plus grand (pardonnez moi) du cinéma, est-ce elle, l’envie de voir ce film ne me vient pas
    le souvenir de marches dans la nuit de Paris si ça réveille des souvenirs (pas mêmes lieux mais..)

  • @brigitte celerier : (pardon accordé, évidemment) et les marches de nuit sont sans doute les plus belles (merci à vous)