Pendant le weekend

2094 Mardi 20 Septembre 2022

 

 

ça va encore disais-je au texto sms petit message – le travail des jours, la diapositive – lecture du Mankiewicz de Pascal Merigeau – j’avais entamé, il y a bien vingt ans ou un peu plus, la lecture puis j’avais largué – puis j’avais entendu l’auteur dans le poste parler de son travail sur Renoir, et je m’étais fait la réflexion de ne pas lire ce qu’il racontait – sans doute quelque chose de la prétention de vouloir expliquer des trucs sur la direction d’acteurs, quelque chose dans ce contexte là – mais j’aime plus Mankiewicz que Renoir – il y a des images, le livre part en déconfiture – fait froid et ça fait braire –

je ne dis plus vraiment « au revoir D » en voyant un aéronef mais je le pense (j’ai une image de l’opérateur que par pudeur je ne pose pas mais qui me plaît – une image automatique du nouveau nino au dos bleu qui inverse le sens de l’objectif ou passe en mode moi-même directement par un simple effleurement d’un bouton virtuel) je ne suis pas sérieux avec l’écriture mais tant pis – je me souviens des « ils ne nous méritent pas » d’une amie – mais je préfère la relation amicale (on n’a pas non plus toujours la latitude de choisir, je sais bien) – ici un peu du film où « la totalité de la distribution a été citée à l’oscar » (sans d’ailleurs l’obtenir…) (Le Limier – Sleuth  1972)

 

 

au cinéma Voyage à deux (Two for the road, Stanley Donnen, 1967) film sans scénario probablement de producteur (Stanley Donen productions : mobilisation du fond de soutien – coproduction à sept ou huit pays) (en clair une espèce de navet us – avec Audrey Hepburn peut-être et Albert Finney (miscasting complet – on l’aimait mieux dans Samedi soir dimanche matin (Karel Reisz, 1960)) – Claude Dauphin qui danse ? bah…)
récapitulatif : dans le poste À plein temps (Éric Gravel, 2021) zéro – pendant ce temps-là, au Ritz et dans d’autres palaces les bonnes font (et gagnent) la grève (merdauxcons)
Edie (Edith en chemin vers son rêve – Simon Hunter, 2017) bof (prises de vue dronatiques (envie de gerber) et dépliant touristique (so scottish) (il pleut) ça ne fait pas un film (le premier rôle en fait des tonnes) (bis)

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2 Comments

    de belles choses ici dont la grève et le nino

  • Bel avion bien net, on arrive même à distinguer le pilote qui lit un magazine pendant que l’intelligence artificielle fait le boulot ! 😉