Pendant le weekend

2118 Vendredi 14 Octobre 2022 (Sur le bureau #59)

 

 

 

les images veulent-elles dire quelque chose d’autre que ce qu’elles montrent ? Toujours. Elles remarquent – elles sont déjà marquées :  par exemple ici

cette beauté semblable à cette autre

l’ordure en action – le mimétisme de la pourriture : nous n’avons ici que quatre-vingt-neuf députés de cette aune, appointés par la république – ça ne fait rien, il y a la guerre – tu sais quoi, parfois il me semble que je ferais mieux de laisser aller les choses – de m’occuper de mes affaires – reçu cette image (encore merci) (d’Auguste Renoir sa Jeune femme à la voilette)

je continue sur cette voie d’ailleurs imaginaire

dont je discutais hier avec cette même amie et j’avais à l’esprit cette actrice-là

Greta Scacchi (probablement assez jeune sur l’image) (j’avais aussi à ‘esprit ces images de Jane Fonda qui rappelait qu’on avait voulu, à Hollywood, changer sa physionomie – dans le film de Carole Roussopoulos magnifique Sois belle et tais-toi (1981) – on en parlait l’autre jour au burnouf avec AS, ainsi que de l’autre Delphine qu’on aime tout autant

(Bretesché, image taxée à la Marelle) les gens absents – il y aura dans les jours qui viennent un hommage à Maryse Hache

paru avant hier sur rezosocio (je le repose ici) :
Avant l’été, nous vous avions dit notre souhait de rendre hommage à Maryse Hache, disparue en octobre 2012, il y a donc dix ans. Nous voudrions inviter qui le désire à nous rejoindre pour un moment de lecture au cimetière Montmartre, où elle repose, dans la dernière quinzaine d’octobre, peut-être un après-midi (nous irions boire un verre ensuite dans le quartier). Qu’en dites-vous ? N’hésitez pas à nous contacter très bientôt.

quand, c’est toute la question – mais ça se fera (rappel de mai 2015) – après il n’est pas non plus nécessaire d’en faire tout un plat – passons à autre chose stuveux bien

une station-service qui serait le pendant de

les sourires cachent-ils le désespoir ? je ne sais pas, je pose ici les images qui sont venues ces jours-ci – j’illustre souvent les recommandations d’Olivier Hodasava et son tour du monde rêvé et virtuel, ici les îles Lofoten

là je ne sais plus – c’est autre chose, oui

peut-être non loin d’où naquit et disparut (s’en alla, partit) Irène Papas je crois bien – et pour finir ce 977ème poème de l’ami Lucien, commenté comme de juste (dans vingt-trois occurrences cessera ce jeu)

Debout.

 

 

au ciné 104 séance spéciale et gratuite du documentaire Pour l’instant tout va bien (Matthieu Dibellius,2022) – magnifique (conditions de travail tragiques cependant…)

 

 

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2 Comments

    oh la parenté de ces moues… l’horreur et ma crainte
    mais Renoir, mais Maryse, mais …

  • @brigitte celerier :ce ne serait que l’apparence – mais les idées sont là – on se battra, n’ayez crainte surtout -merci de passer (pour Maryse, je lirai un texte de Christine, et vous serez présente)