Pendant le weekend

2445 Mardi 5 Septembre 2023

 

 

 

un mois et voilà que je me dis « il faudrait que je l’appelle, le sanaryote, tiens, ça fait longtemps… » et puis finalement non – comme si rien ne s’était passé – comme pour déjeuner à Asnières (l’image de cette petite fille sérieuse sur les traces de la marée, due à Denis Pasquier)

ou du côté du Bloc rue Nollet : c’est non – ce n’est pas que je fatigue (voilà bien longtemps que je le suis) pas plus que ça, non, mais c’est assez pesant – on passe, on ne fait que passer – j’en termine de la 11 – je poste – je continue le carnet – c’est sans lien – passage par ici (tête de grue coupée)

allant au rendez-vous (ce dernier mot : toujours cette chanson) (apparemment le Jablonka a commis un essai socio-ethno-anthropo-chansono-perso sur Djidji Gé (je me souviens d’une des chansons siennes, celle qui fait « qu’on allume ma viiiiiie ») lequel a refusé qu’on s’intéresse à lui et à ses archives) (avec la Céline tout autant) – peut-être les chansons pour oublier les disparus ? Septembre – l’été qui finit en indien espérons ? OSEF à peu près –

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4 Comments

    mon amitié et ma nostalgie à la petite fille (même si à sa façon de marcher j’imagine qu’elle rumine une vague colère)
    fatigue…moi n’ai pas commencé le 11 et j’ai peur de laisser à nouveau distancer (ordi et yeux fatigués plus que moi, l’excuse de la mauvaise élève)
    les disparus, leur faire un petit nid en soi, et tant pis si ça alourdit parfois le poids à porter… ils accompagnent

  • @brigitte celerier : en tout cas merci à vous d’être là.

  • Le vol lent des grues en ville nous fait tourner la tête… 😉

  • @Dominique Hasselmann : annonciateur de l’automne,peut-être… Merci à toi