2463 Lundi 25 Septembre 2023

le dimanche le poulet (11.9 le kilo rôti) légumes – assemblée – fin d’houmos – traque des fautes d’un nouveau 8 (blague privée d’atelier) – continuer d’avancer sur cette route assez escarpée (la prochaine fois sera (consigne 14 non écoutée encore ni lue) une affaire en lien avec le livret militaire, les passages en hôpital, et en mer je suppose : références au cahier peut-être) (à chercher trouver tenter travailler) – pour le moment presque présent aller demander chez le marchand d’annuler la vente précédente incongrue parce que nécessitant le changement de tout ce qui va sur le gaz (électrique certes, induction sans doute mais enfin, non) – et d’en pratiquer une autre – je déteste ça j’y vais quand même – un tour au musée, pour se consoler de ce monde consommable de brutes épaisses – l’expo tempo impraticable comme de juste (dimanche au musée ressemble comme deux gouttes de culture à dimanche au poulet) – n’importe un peu de beauté

le cartel

on pourrait intituler ça de »la prose de commissaire » (on ne lit pas bien d’ailleurs) (désolé)

pour garder le titre et l’échelle, disons

(on l’appelait François, installé à Paris puis à Puteaux enfin) et la date

de pures merveilles

passons

trop beau

bien suffisant – et pour finir

ces toits

réalisés alors que je venais au monde (toute modestie mise à part), méritant par là un détail

puis un autre, magnifiquement

à lui seul, un tableau (dédicace à vous) – rentrant vaguement fatigués (une femme criait à l’agent de sécurité de ne pas fouiller dans son sac avec ses mains pleines de doigts et de microbes (il portait des gants bleus) ça allait infester ses affaires il n’avait pas le droit c’est une honte – ça c’est Paris) – ce spécimen pour Bayeuz’Kiki

et enfin cette petite image trouvée quelque part posée quelque part ailleurs et rapportée donc ici

au cinéma L’été dernier… (Catherine Breillat, 2023) s’envoyer en l’air dans la bourgeoisie : banal et sans saveur