Pendant le weekend

2484 Lundi 16 Octobre 2023

 

 

 

la reprise de l’atelier (qui ne s’est pas arrêté d’ailleurs) (la continuation donc) (on prend les mêmes et on recommence – on ne change pas une équipe qui gagne – perdre d’un point, quand même – non mais du pain et des jeux aussi) je me disais en marchant pour aller chez le vraqueux (après avoir lu un entretien avec la rabbine Delphine Horvilleur) après avoir constaté qu’on en voulait à nos âmes-mêmes (et pas seulement celles de cette confession dont je ne suis pas sinon par le patronyme que, comme tout le monde (à vérifier) je tiens de mon père – ce qui constitue cependant la thèse du tordu du cigare) que cette façon d’agir témoignait d’un abyssal manque d’amour (ces gens-là veulent qu’on les aime : ils s’y prennent mal) (ça ne m’a que peu rassuré) il y avait là cette jeune femme sur un bureau

qui attendait la voiture pour convoyer vers quelque part le meuble) dos droit (attends je te rapproche) consultant quelque nino intelligent

capuche baskets pantalon de sport (assise cependant en tailleur) – tout le kit dominical (ou pas) – probablement tatouée si tu veux mon avis – il y avait rencontre au ciné avec la réalisatrice (Autre dimanche après-midi de rencontre, celui avec la cinéaste Ann Sirot et les deux films coréalisés avec Raphaël Balboni. Nous avions été séduits par leur univers visuel décalé et drôle avec Une Vie démente et avec Le Syndrome des amours passées. De nouveau leur style à part nous emporte lorsqu’ils interrogent le couple. ) dixit le site, mais on a obliqué (j’ai une faiblesse, disons, pour ce mot – comme pour osmose – à cause entre autres de la série de l’amie Bayeuse) (pourtant, les séries, je déteste) (il y en a (pas mal) cependant ici) pour une autre avec les collègues associatifs (un prosecco à 5e) (le froid s’abat sur les trajets)

 

en face Les patriotes (Eric Rochant, 1994) bah (Un monde sans pitié (1989) m’a plus plu) espionnage (mossad mais ça n’existe pas) pensé au Dossier 51 (Michel Deville, 1978)

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2 Comments

    puis-je me glorifier de dire « mon frère »

    quant à l’atelier ne finis pas le précédent (à un près), voulais pas le nouveau, l’ai commencé en écoutant, on verra si temps et esprit

    tant de gens à aimer et pour lesquels craindre

  • @brigitte celerier : oui. Et depuis un moment hein… Merci à vous