2602 Dimanche 11 Février 2024

en ce qui concerne l’écriture, l’énoncé vaut pour la réalité (sur le métier reste l’ouvrage) – alors Bruxelles a débarqué ce qui fait qu’on doit faire à manger, parler, évoquer rire boire discuter rire à nouveau (certes), mais c’est le matin que blesse le bât (je me lève dans des 7 heures, ce qui est assez incongru (je dors comme un bébé – l’âge (cette ignominie inventée par un comptable – encore une corporation honnie) avance et la récupération s’effiloche – Fuck off) – la pluie n’a pas cessé (torrentielle me disait l’amie portugaise) (j’en ai profité lâchement pour regarder un épisode (un numéro ? le passe-plat les numérote en effet, il dit « le deux-cent seizième numéro d’apostrophe » comme pour les journaux) de l’émission qui réunissait Pierre Bourdieu et Fernand Braudel – il y avait aussi l’infatué Gallot Max) – lu pas mal de L’Italie des années de plomb (chez autrement) -et puis « tombé » sur ceci

qui m’a évoqué (fatalement) cela

mais aussi

comme disent les amerloks « ça a fait ma journée » (mais les amerloks, vraiment) – quoi qu’il en soit, mon préféré qui est par là le plus beau film du monde, de l’univers et de tous les temps (ce qui n’est ni négociable, ni discutable)

(toutes en noir et blanc – sauf le poivre et sel des cheveux du représentant de 2F sur la dernière – enfin  si mais non)

(première et deuxième image tournage et plus de La dolce vita (La douceur de vivre, 1960) (scénario 2F et 3P*) tournage pour la 3 de La cité des femmes (1980) et la 4 qu’on ne présente plus (2M dans 8&1/2, 1963)

en vrai ils s’y sont mis à 5 :

Federico Fellini
Tullio Pinelli
Ennio Flaiano
Brunello Rondi
Pier Paolo Pasolini

Bon dimanche