Pendant le weekend

2620 Jeudi 29 Février 2024

 

 

 

suite d’entretien

on en reste là – tentative petit métier 1

2

je préfère la 2 – marcher encore pour oublier (je ne sais plus quoi)

le retour du printemps peut-être – il y a dans l’autre lecture de ces temps-ci (Le livre noir Orhan Pamuk folio 1990) les diverses façons d’opérer des bourreaux des sultans, dont le lacet, pour étranglement suivi de la découpe au chiffre (instrument extrêmement tranchant) (on peut aussi décapiter directement) – je ne sais trop ce que j’ai avec la Turquie sinon d’avoir tant aimé son Bosphore – contre-jour à la coureuse

ce n’est pas un sprint ce n’est pas inscrit dans l’image mais la coureuse m’a semblé plus âgée que moi – asiate, l’évaluation est plus complexe, mais aux cheveux la part du sel dans le poivre permet de réduire la fourchette – à propos de cuisine, ça a été pot-au-feu

l’image est moins belle qu’il fut bon – tout à l’heure on prépare un hachis parmentier avec les restes, tu sais comment c’est – j’avais réouvert Norma mais finalement je hais le travail comme j’aime m’amuser – j’ai marché,découvert ce bestiaire

où la prétention rose du volatile de faire de l’ombre au roi (noir et moche, je reconnais) mériterait la mort – mais passons – nous marcherons de concert

 

dans l’étrange lucarne Correspondant 17 (Sir Alfred, 1940) (deuxième rôle pour Georges Sanders) – très daté mais le naufrage de l’hydravion (parfaitement incroyable) a quelque chose d’assez dangereux (sinon sadique) on dispose d’une bonne quinzaine de plans intérieur cabine de pilotage/rapprochement des flots avant l’amerrissage forcée (le truc a presque un siècle quand même…) – on a quelque chose de changé dans l’admiration portée à Sir Alfred (mais le pli contemporain va dans ce sens) après la lecture du Trois femmes disparaissent (Hélène Frappat, actes sud 2023) – on se pose des questions sur le système du suspense et on comprend par là l’animosité ressentie envers l’hypocrisie d’un Truffaut François

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10 Comments

    ai beaucoup aimé les H de l’époque anglaise (je crois, enfin les noirs et blancs) je me souviens qu’ils avaient été réédités il y a des années et faisaient mon régal au 14 Juillet Bastille

  • Chez nous, dans mes jeunes années, les lendemains de pot-au-feu c’était miroton (ou mironton ?). Si je n’aimais pas (et n’aime toujours pas) le pot-eu-feu, j’aimais bien le miroton (ou mironton ?) du lendemain (mais je ne sais pas si je l’aimerais toujours n’ayant plus depuis longtemps jamais l’occasion d’en manger).

  • @L’employée aux écritures : pour ma part je n’ai jamais croisé que le « mironton » (suite en effet chez madame Maigret (prénommée (comme ma grand-mère) Louise) (je l’aime toujours) (ma grand-mère) par exemple, du pot-au-feu de la veille ou de l’avant veille – ils n’étaient que deux remarquez bien, Employée) – restez sans inquiétudes, Employée, le hachis parmentier sera bon… Merci à vous.

  • @brigitte celerier : on entendait le métro passer dans ces salles, je me souviens… Merci à vous Brigitte

  • J’ai revu Pas de printemps pour Marnie hier, différemment, à cause du livre (ça ajoute un autre prisme)

  • @cjeanney : Marnie est une de mes héroïnes favorites (j’aime aussi assez mister double zéro sept – Bond – ici grimé en Mark Rutland) (et beaucoup Eve Kendall (alias Eva Marie Saint) dans cette (autre) « Mort aux trousses »…) – mais oui, différemment… Merci à toi

  • J’adorais la série des « Hitchcock présente » avec son « caméo » en ombre chinoise dan le générique (l’idée a été reprise sur la façade d’une boutique de DVD, avenue Parmentier à Paris… 🙂

  • @Dominique Hasselmann : JM Vidéo, j’aile sentiment que c’est la dernière enseigne de ce type… (mais je suis client) Merci à toi

  • Miss Kendall oui sublime… moi je l’adore en vinaigrette le reste de pot au feu 😉

  • @caroline diaz : ah oui – il y a plusieurs écoles – avec une mayo aussi (peut-être un peu lourd) – un aïoli (c’est plus violent) – merci à toi Caro