2797 Jeudi 16 Mai 2024

toujours rien de C.
Petra Reski en revanche m’a remercié de « mon amour pour Venise » – anéfé
encore que (je vois à présent Jacquot et Le Bescot ou Godrèche entrer dans ce palace-ci – j’y voyais (mais c’en était un autre) aussi JiPé et SdB : les temps changent-ils ?)
j’ai de ces scrupules – l’ouverture avec ces trois robes blanche, rouge et noire mais je n’ai pas la télé – dommage…
marche au parc (suite passerellesque)

et puis marcher encore – aller au rendez-vous avec Caro (merci encore pour le livre) (Anne-Marie Garat Photos de familles tout au pluriel) -joyeusement on a discuté des gens, des secrets et des mystères – je suis rentré vers midi : marcher pour revenir – ici un élément (passage – en pensée ces trahisons – dans mon ancien quartier Charonne, Paul Bert, Chanzy, Voltaire puis Saint-Maur puis deux salons pour l’invent’hair)

un même B2TS quelque part

puis un autre élément Œ&M (plus exotique)

quelques pâtes rentrant à la maison – vague dégoût nauséeux – travail sur Marx sans y parvenir – essayer de lire sans y parvenir – dégoût accentué – au téléphone « jte téléphone pur m’assurer que tu n’es pas mort sous les balles d’un mafieux… »  non, en effet : ça défouraillait rue des Envierges… – rien au mail mais il faisait beau – vers le soir le prunus qui, déjà, roussit

puis la pluie- vaguement 

et pour Ville&Cinéma un billet Plaisance

dans la boite  Nuits magiques (Paolo Virzi, 2018) comédie vaguement et grossièrement vulgaire dans le milieu du scénario/production ciné/télé