Pendant le weekend

2802 Mardi 21 Mai 2024

 

 

 

 

pluie – lecture (Paul Meurisse qui se la pète – bah… qu’il ait été à la base de la carrière de Georges Lautner pourquoi pas – mais le mépris du cinéma comme la plupart des acteurs de théâtre en donne une image conventionnelle – à base de « cigarettes, whisky et petites pépés » – un genre d’Eddie Constantine en smoking – d’autant qu’il a commencé comme chanteur burlesque…) (je cherche les linéaments qui ont fondé ma recherche sur ce type – Montand peut-être ? c’est un peu loin) – et puis  Les mémorables (re – magnifique) (Lidia Jorge, 2017, Métailié) – faudrait avancer dans la direction de la fiction mais je ne le fais pas –  ça ne fait rien – des images prises du métro

travaux d’hosto en revenant de Clichy – sous la pluie –

sans nouvelle de l’Yonne – ça viendra (c’est venu, oui) sauf qu’on allume les portables seulement les jours ouvrables semble-t-il… (quoique E. est arrivée en Grèce, et que le petit Damien soit né il y a deux jours : bienvenue à lui ! (ce n’est pas qu’on se sente poussé vers la sortie, mais enfin la génération suivante se pointe…)) – apparemment il ne pleuvait plus

(on ne voit aucun pébrok) – le soir pizza maison (évidemment) (spéciale farine de sarrasin)

 

au ciné  Reines (Yasmine Bekiran, 2022) (premier film : on salue) road-movie comme on dit – (ma paxette y vit une espèce de Thelma et Louise (Ridley Scott, 1991) : acceptons-en l’augure) – une mère (récidiviste et combative) s’échappe de prison, enlève sa fille (habitée ou possédée par des histoires de djinns, de pieds en sabots et de princesses) de la maison de correction, s’empare d’un camion (empli de paraboles) prend en otage une jeune femme (mécanicienne  et déterminée – dont le mari est un salaud) et roulez jeunesse – la police est à leurs trousses – la fin est nébuleuse… pas mal du tout (ici image des trois héroïnes – et du camion (en hommage à Margot, sans doute)

(taxé au cnc) (je me sacrifie aujourd’hui, je vais voir le Une famille de l’Angot)(un doku déjà ça fait 1, j’ai quelque réserve – c’est un préjugé c’est vrai oui – quant à la réalisation et de 2, c’est au bout du monde ça fait 3 – la pluie jt’en parle même pas)

 

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4 Comments

    À propos de ciné, j’ai revu sur Arte.tv, « Les Poings dans les poches » de Bellocchio (1965)… qui garde toute sa force et le vertige qu’il véhicule. 🙂

  • avais loupé… belles la mère et la fille (ne dirais pas « comme un camion ») et si la fin est nébuleuse j’aime assez

  • @brigitte celerier : rattrapée… oui ce film est bien. Bonne journée (et merci) à vous

  • @Dominique Hasselmann : c’estso premierlong métrage… Magnifique pas pris une ride (enfin si mais pas vraiment). Merci à toi