Pendant le weekend

Oublier Paris #110.3

 

les divers linéaments de cette recherche sont explicités dans le Oublier Paris #110 – il faudrait peut-être tout regrouper en un seul et même billet – bof.

Ici, un article qui traite de ce coin de rue (payant) (cependant, on peut, au besoin, demander les articles correspondant dans le canard, j’en fais parvenir des facs-similés) dont sont tirées les images ci-après

 

quelque part, quelques images de ce 48 Rue de la République de Saint-Denis mis à sac par une police décomplexée dissolue (il)légitime (parce que  parfaitement disproportionnée) vers la fin du mois de novembre 2015 (le 18, à partir de 4 heures du matin, heure de l’assaut) – travail en cours toujours dont on peut retrouver :
ici les deux numéros
(le 1)
(le 2)
de la rubrique Oublier Paris
les contributions des diverses journées (2) et billets qui constituent ce travail en cours
et enfin ici les deux émissions de radio qui donnent lieu à ce travail en cours :
1. (une matinée de guerre)
2. (un immeuble toujours à vif)

 

ici un article d’un supplément du canard de référence paraissant vers une heure l’après midi (il a été conservé, ce gimmick, dans la version numérique dudit organe) (il est vrai aussi que, plus le monde (numérique) va comme il va et plus il donne la nausée – le lien a été aimablement fourni ce matin (dimanche) et taxé donc au Liminaire de Pierre Ménard –  justement titré « sur un fil invisible » – on remercie)  – je laisse les légendes qui expliquent les images –

 

Vue du 48 rue de la République à Saint-Denis.

 

La cour du 48 rue de la République et ses différents bâtiments. La végétation a complètement repris ses droits dans cette cour abandonnée depuis 9 ans. Certaines fenêtres sont recouvertes de plaques de bois pour empêcher les pigeons de pénétrer à l’intérieur.

 

Dégradation, vétusté et végétation grimpante contre les murs de la cour du 48 rue de la République.

 

Les boîtes aux lettre très abîmées et recouvertes de noms posés tant bien mal par les différents occupants de l’immeuble. C’est un symptôme et la trace caractéristiques du mal logement et de l’habitat insalubre.

crédit image :

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4 Comments

    On peut difficilement oublier Paris mais je n’ai pas oublié cet assaut – n’avais pas vu d’images de l’immeuble – émouvant témoignage son état actuel
    je me demande si ce n’est pas le fait de l’habitude si j’aime toujours autant mon pays

  • Je n’avais pas bien compris (et toujours pas ce matin) pourquoi toutes ces photos (le « 1 ») de villes de banlieue après celle du 48 rue de la République à Saint-Denis.

    Je me souviens avoir écouté toute la nuit à la radio « l’assaut » (ce devait être sur France Info). On voit maintenant que dans cette commune la « végétalisation » prônée ici par notre bonne maire est à l’œuvre sans aucune aide municipale. 🙂

  • @Dominique Hasselmann : c’est juste une question d’adresse pour le 48 – rien d’autre. Cette affaire du treize novembre quinze st une vraie terreur. Merci à toi

  • @brigitte celerier : c’est une chose (l’amour de « son » pays) dont il est inutile de vouloir se séparer – habitude ou certitude (je mets des guillemets à »son » parce que ce possessif est un peu usurpé). Mais merci à vous de partager ici ce sentiment…