2724 Dimanche 13 Avril 2025
on a été d’atelier
encore un truc à faire (mais le ville&cinéma titré Téhéran est sur le feu, presque achevé) (les choses qu’on s’impose pour vivre, tout simplement mais je dors trop – je fatigue trop) marchant
cet espace ultra-contemporain (travaux slash vélo sous slash sac à dos barbalakon gaffas de sol slash gâchis slash série bulgares) dans le ciel tourne ce matin un hélico (marathon chaussures piégées etc.) le monde est formidable (l’idiot de bercy indique que « la négociation est possible » : le type a tout compris…) ça ne fait rien, il y avait une pluie (pou peut-être une neige) rose et magnifique, ici quelques gouttes/flocons
sans doute étions-nous une dizaine pour dans une bibliothèque du dixième nous élancer dans une boucle promenade – le président (entre autres) de L’aiR Nu menait le bal – ici une fenêtre en spéciale dédicace à ce magnifique collectif
en revenant, un texte formidable d’une participante qui n’était pas venue escalader la butte Bergeyre (tout le monde pleurait : une émotion sincère vraie brute : extra) et puis la pluie, un peu, Belleville à peine et le plaisir de marcher
(prunus derniers jours)
dans le poste La servante écarlate (Volker Schlöndorff, 1989) (sans attraits, dommage le scénario avait quelque chose – on se serait cru dans un Soleil vert (Richard Fleischer, 1973) qui aurait pris dix ans – Faye Dunaway joue mal (minimum syndical), Robert Duvall joue mal (un peu plus d’allant), et il y a miscatsing pour le premier rôle (Natasha Richardson, au destin tragique)
moi je vous admire de faire autant… n’arrive pas à lutter contre le sommeil aux mauvaises heures et deviens si lente…
aime vos slash et même impression pour la servante dans le poste
Pas d’accord sur cette « Servante écarlate » vue sur Arte.tv (il paraît qu’il y a une série qui prolonge la dystopie mais sur une plateforme US payante).
L’héroïne (jolie Natasha Richardson) est bien dans son rôle et Robert Duvall (malgré sa perruque ?) est crédible.
J’admire la mise en scène et le déploiement des moyens. Tout cela au service d’une histoire… de plus en plus crédible sous la houlette d’un Trump déchaîné. 🙂
@brigitte celerier : (rien d’admirable, cependant franchement-tout reste à faire) – merci à vous Brigitte (épargnez-vous)
@Dominique Hasselmann : tu as beau argumenter, ça ne me convainc pas trop… (mais justement,l’histoire est bien et je l’ai trouvé mal servie…) – mais nos points de vue de cinéma ont-ils jamais été conciliés? Merci à toi en tout cas