Pendant le weekend

2447 Lundi 5 Mai 2025

 

 

on était d’expo hier – la fermeture prochaine approximative mais d’un lustre quand même de la grande maison fend le cœur – on se dit qu’un(e) autocrate serait tenté.e d’en faire un lieu comme le restaurant à entrée réservée (quelle honte) à prix prohibitifs (bon ça c’est fait) – vague dégoût quand même – toujours est-il qu’on y alla et qu’on y découvrit

cet autoportrait de Suzanne Valadon en date de 1888 – l’expo était assez invisible et ce sera sans autre image – (1865-1938) – je ne suis pas certain d’avoir apprécié ce travail mais c’est une affaire personnelle je suppose – je la découvris pratiquement à vrai dire – osefu2p, il y avait dans la salle voisine (tout autant prise d’assaut) toutes sortes d’images et de d’objets et de photos et d’autres chose encore

Paris noir
Circulations artistiques, luttes anticoloniales 1950-2000

19 mars – 30 juin 2025

deux petits mois pour – vu que ce jaune merveilleux

 

sans point (je demande pardon – je suis stressé à prendre des photos dans les expositions, quelque chose comme la peur, le ridicule de me comporter « comme tout le monde », la crainte d’être convaincu de vol etc.) mais ici tout de même en compagnie d’un de ses amis James Baldwin

lequel sourit (je ne pense pas que le cliché soit pris à Paris) – la couleur, les couleurs, les thèmes, voilà tout – je vous les livre

la glose

pardon à nouveau – puis encore

et

et encore

et

enfin

j’aime ce cosmopolitisme de Paris dont j’ai peur qu’il se perde (les temps présents me sont blessants)

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1 Comment

    Figure-toi que j’ai vu ces deux expos (Valadon et « Paris Noir ») mais j’ai pris un tel retard sur mon blog avec l’interminable feuilleton sur Barcelone que je ne pense pas en dire quelque chose ensuite (ou alors une photo pour chacune d’entre elles, remarquables toutes les deux !).

    Il est vrai qu’il est loin le temps où il était interdit de photographier dans les musées. Le rôle des gardiens des temples s’en est trouvé amoindri… 🙂

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