Pendant le weekend

2455 Mardi 13 Mai 2025

 

 

 

 

 

C. qui a filé à l’anglaise il y a quelques années (et mis au monde un petit L.) tape les trente-sept aujourd’hui, si je ne m’abuse (il s’agit de la fille (unique) du sanaryote) – c’est un souvenir du coin du faubourg Saint-Antoine (il vivait alors rue Beccaria et nous Paul Bert) – marche tranquille et travail au casque – j’avance doucement mais j’avance (le billet mensuel ville&cinéma intitulé Orly) – slatam mechouia – et puis il y a eu le métro

celle-ci

cet autre

les deux ensemble

ce troisième

il y avait des travaux rue Lepic

du soleil sur celle des Abbesses (au fond, le tribunal)

un passage par une série (le regard-caméra du commensal assez agressif expliquerait (à peine) le manque de point et le trouble du point de vue)

on y lit l’enseigne et c’est le nécessaire et principal – et le retour par le même procédé

le petit bateau sur le bassin

et du soir la douce lumière

 

 

au studio 28 (le plus vieux cinéma de Paris disent-ils – le coca à 5 euros sur la terrasse intérieure alors qu’il tombait des cordes, on peut régler par carte bancaire) Lire Lolita à Téhéran (Eran Riklis, 2024) (du même réalisateur israélien, on se souvient du Les citronniers (2008) à cause de Hiam Abbass sans doute) sans doute aussi mise en scène et image un peu trop pépère (quelques coups de cinéma bienvenus – la relation avec un ancien prof teinté de fantasme il m’a semblé – est-il là ou ne l’est-il qu’en pensée ? faudrait lire le livre – adaptation du livre d’Azar Nafisi) (après, Golshifteh Farahani est de tous les plans et en fait des quintaux mais le film est d’un bon esprit (notamment parce qu’on y parle de l’autobio – il faudrait que je me la procure… – de don Luis (je pense à ana nb)  et ce n’est pas si fréquent)

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4 Comments

    Beau ciel (qui peut attendre). 🙂

  • @Dominique Hasselmann : un titre de film qui pourrait aller comme un gant à n’importe quelle production cinématographique… Merci à toi

  • et merci à vous deux pour le « divertissement »

  • @brigitte celerier : merci de votre présence, Brigitte. à vous

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