Pendant le weekend

2456 Mercredi 14 Mai 2025

 

 

 

le ciel du matin

ressemblait comme deux gouttes d’eau à celui du soir de la veille (la pluie m’a chopé après avoir bu un verre avec apap en fin d’après-midi) – à propos de binômes, ces deux-là vaquaient… on dit le sublime du volatile : il n’est en tout cas pas farouche

ou simplement trop lourd – on peut aussi voir son ridicule – le zoom en devient charitable)

c’est sans grâce, tant pis – là les fleurs de ciboulette

au marché, puis passant devant un revendeur de guitares d’occasion, je poussais la porte et m’enquis de la possibilité de me procurer des chevilles pour cordes (c’est ça

celles de la Morris sont mortes dans l’incendie d’il y a dix ans) (y’en avait comme tu vois) – croisai ce petit métier (élagueur, ça vous a quelque chose d’un peu rural – mais non, la campagne c’est en ville qu’on la trouve de nos jours…)

puis le travail pour le ville &cinéma Orly assez copieux – celui pour la lettre (magnifique : bravo encore Kik !!) de nouvelles de L’aiR Nu (suivre le lien pour la recevoir) – table cuisine ménage bazar du mardi soir – la petite n’a que trois mois – j’apprends le festival ouvert et les prises de paroles (disons) courageuses de Laurent Lafitte comme de Robert De Niro (deux hommes, blancs, probablement hétéro – comment va le monde au fait ?) (ces paroles-là doivent venir des puissants et je m’en réjouis – de même que j’ai applaudi sans me réjouir cependant aux dix-huit mois quand même ils seraient avec sursis, de la condamnation du gros russe (il paraît qu’il tourne aux Açores – il paraît que ce sera un flop pour madame Ardant (puisqu’elle est l’auteure du film, puisqu’elle le réalise…) -madame la Présidente du jury du festival du film a cependant relevé cette condamnation (l’odieux personnage (par l’entremise de son avocat qui ne l’est pas moins – odieux) fait appel, lequel se commuera en une peine plus lourde, on peut le croire) enfin le monde bruisse…

 

par la faute de ce travail que je m’inflige sur Orly, j’ai manqué le documentaire qu’Yves Jeuland (on l’aime encore assez bien lui) a consacré à Volodymyr Zelinsky (on verra…)

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2 Comments

    juste saluer avec admiration toujours

  • J’ai suivi à 19h. l’ouverture du Festival de Cannes (avant l’ouverture à 20h. du Festival des « craques » de Macron) : Lafitte, vraiment lourdingue et interminable, Binoche audacieuse (« À bas le voile ! » disait Retailleau), De Niro bien, Di Caprio lisant un prompteur et doublé par un traducteur plus rapide que lui…

    Le documentaire sur Zelinsky est visible sur Arte.tv depuis quelques jours. 🙂

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